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Posté le 17 décembre 2015 - par dbclosc

D.Boone prochain sélectionneur du Cameroun ?

le LOSC est grand, le LOSC est beau

Le Cameroun cherche un nouveau sélectionneur et le fait savoir : http://fecafoot-officiel.com/?p=5139. Les candidatures de qualité sont rares dans le football moderne, donc forcément, quand l’une sort du lot, Drogue, Bière & Complot contre le LOSC s’engage. Ça tombe bien, Damien Boone, l’ancien talentueux joueur polyvalent de Gondecourt est officiellement candidat.

damien boone

Dessin de Damien Boone réalisé sur paint

Bien sûr, son attachement au LOSC n’est pas pour plaire à tout le monde, mais nul doute qu’avec le poids de DB&C LOSC dans la balance, les instances ne pourront qu’admettre qui est le meilleur pour le poste. Voici donc sa lettre de candidature, dont la qualité rédactistique n’a d’égale que ses compétences tactiques dont il nous fait découvrir un échantillon. Ca n’est pas qu’une lettre de candidature que tu vas lire, mais un vrai document d’Histoire.

Damien BOONE

X, rue XXXXXX

XXXXXXXXXX

59XXX XXXXX

Monsieur le Président de la FECAFOOT

à  Lille, le 15 décembre 2015

 

Objet : candidature au poste d’entraîneur-sélectionneur de la sélection nationale « A » du Cameroun 

 

Monsieur le Président de la FECAFOOT,

 

 

Monsieur le Président

Je vous fais une lettre

Que vous lirez sûrement

Puisque c’est la mi-temps

Je viens de voir

Une offre dont je suis preneur

Pour être sélectionneur

Avant mardi soir

Monsieur le Président

J’ai adoré votre offre

J’amène dans mon coffre

Un plan de jeu évident

C’est pour vous informer

Il faut que je vous dise

Ma décision est prise

Je vais candidater

 

            En d’autres termes, plus administratifs, c’est avec un grand intérêt que j’ai pris connaissance de l’offre de votre fédération (http://fecafoot-officiel.com/?p=5139), et je m’en vais décrire ci-après les éléments qui m’autorisent à y répondre. Avant d’entrer dans les détails de ma candidature, je tiens tout d’abord  à saluer l’initiative de votre fédération, à savoir relayer votre offre sur les réseaux sociaux, sans quoi je ne serais jamais tombé dessus. C’est là le signe évident d’une fédération moderne, qui sait se servir des outils technologiques du présent pour préparer l’avenir, et c’est fort de ce constat exprimé en des termes pas du tout démagogiques que je me présente à vous.

 

            Je me permets désormais de m’attarder sur chacune des conditions qu’il faut satisfaire pour candidater.

 

« Être de nationalité camerounaise ou étrangère ».

 

Ce point précis me pose question et j’ose espérer que vous comprendrez mon point de vue sans toutefois éliminer ma candidature : je suis français ; autrement dit, je ne suis ni de « nationalité camerounaise » ni « étrangère », puisque l’on m’a toujours dit que les étrangers étaient ceux qui n’étaient pas français. Dès lors, je crains de ne pas très bien saisir les exigences requises, sauf à penser que vous privilégiez les candidatures apatrides, mais je me permets de vous signaler que, auquel cas, vous réduisez fortement les chances d’être sollicités, la plupart des gens ayant une nationalité.

 

« Être de bonne moralité ».

 

Je pense pouvoir avancer sans crainte que je suis de bonne moralité, mes amis peuvent en témoigner. À titre d’exemple, j’ai ressorti mon bulletin du troisième trimestre de Troisième, dans lequel la professeure de mathématiques écrit : « très bon travail écrit. Élève sérieux et appliqué ». Si cela n’est pas de la « bonne moralité », je ne sais pas ce que c’est. Mes diplôme comportent en outre toujours des mentions (de « assez bien » à « très honorable avec les félicitations du jury à l’unanimité »), reflets de ma « bonne moralité ».

 

« Être physiquement apte et en bonne santé »

Ça va bien. Il y a toujours ce traitement de désensibilisation aux acariens, mais qui avance. En toute honnêteté, je ne suis plus gêné. J’ai pris rendez-vous chez un ophtalmologiste pour début janvier : le délai n’a été que de deux mois, quand on connaît le temps que ça prend parfois, j’ai été agréablement surpris. Je poursuis par ailleurs mon football hebdomadaire : nous avons cette année trouvé un créneau de 17h à 19h le vendredi, et je vous garantis que je ne me ménage pas !

 

« Avoir une forte personnalité ».

 

Il ne fait guère de doute que j’ai une forte personnalité, mes amis peuvent en témoigner. Lorsque je surveille les examens de mes étudiants, il arrive que j’en surprenne un en train de tricher. Je lui fais alors de gros yeux, parfois agrémentés d’un « HEPEPEP ! », qui met fin immédiatement à la triche. Cet exemple illustre le fait que je serai particulièrement attentif aux écarts de comportement, car la performance sportive vient d’une attitude exemplaire en amont.

 

« Avoir une crédibilité et jouir d’une reconnaissance nationale et internationale ».

 

Il ne fait aucun doute que j’ai une crédibilité et que je jouis d’une reconnaissance nationale et internationale. J’ai par exemple été invité à l’université du Québec à Montréal en 2011 pour y présenter ma thèse. J’ai aussi fait quelques communications à Bruxelles, à Lausanne, et des voyages touristiques en Irlande, en Turquie, en Italie, au Chili, en Écosse, aux Pays-Bas, à Monaco, au Portugal, et ça s’est toujours bien passé. Sur le plan national, il vous suffira de taper mon nom dans votre moteur de recherche favori pour constater ma réputation. Je signale très modestement que j’ai déjà candidaté il y a quelques années auprès de la Fédération belge qui, je cite, a « bien reçu [ma] lettre concernant [ma] candidature au poste d’entraîneur de l’équipe nationale (…) nous tenons à vous remercier », auprès du club de Lyon, auprès de l’équipe de France de rugby mais, dans ces deux derniers cas, je n’ai pas reçu de réponse et n’ai donc pas été retenu, en dépit de mon solide dossier. Cependant, je ne doute pas d’avoir retenu « toute l’attention » des recruteurs.

 

« Avoir une expérience professionnelle dans les clubs d’élites, dans les clubs professionnels ou dans les sélections nationales »

 

Un bon entraîneur est souvent un ancien joueur. En tant que joueur, j’ai remporté quelques trophées majeurs, tandis que mon expérience d’entraîneur ne m’a jusqu’alors apporté que des titres virtuels.

Mon expérience en tant que joueur se résume à quelques années de pratique au sein du Club Sportif de Gondecourt (CSG) à la fin des années 1990. D’abord milieu droit à mes débuts en poussins, je fus reconvertis en arrière central en pupilles en raison de ma grande taille, grâce à laquelle ma vision et ma compréhension du jeu furent favorisées, éléments non négligeables pour un poste d’entraîneur. Durant ces nombreuses années de pratique footballistique, j’ai pu côtoyer de nombreux joueurs, dont un – tenez-vous bien – a ensuite joué à l’ES Wasquehal, mais aussi de nombreux entraîneurs m’ayant transmis différentes philosophies du jeu (du « passe à ton coéquipier » au « quand tu centres, essaie de lever la balle », sans oublier les fameux « ton pénalty, jamais en retrait » et « si l’arbitre a sifflé, c’est qu’il y a eu quelque chose »), soit quelques bases élémentaires que j’appellerais les « fondamentaux » de mon bagage de technicien et que je compte importer chez vous. Les Lions indomptables devant effectuer bientôt de longs voyages en vue des qualifications à venir, j’ai justement moi-même déjà effectué de longs déplacements me permettant d’appréhender cette épreuve avec davantage de confiance : il fallait en effet parfois aller jouer jusqu’à Steenvoorde, et figurez-vous que nous avons même joué à Cucq.

 

En tant qu’entraîneur, le développement des jeux vidéos « Fifa » m’a permis de connaître amplement l’équipe nationale. En effet, lorsque j’y joue, il n’est pas rare que je prenne les Lions indomptables, et pas seulement parce que j’aime bien les animaux. Ce jeu étant une fidèle copie de la réalité, je peux bien me rendre compte des caractéristiques techniques et physiques de chaque joueur. Mieux encore : je modifie les anciennes versions de Fifa et les actualise en prenant en compte lesdites caractéristiques. Ainsi, quand je reprends mon « fifa 98 », exit les Mboma, Song et autres Njanka. Place aux Nkoulou, Mbia et Aboubakar, en mettant en avant pour chacun leurs qualités. Par exemple, Moukandjo, redoutable buteur, bénéficie d’une force de créativité de 99 sur 99, ainsi que d’une précision de tir de 99 sur 99. Ceci vous indique dès lors ma connaissance des valeurs de chaque homme, me permettant de les positionner au meilleur endroit sur le terrain. Récemment, lors d’un match avec le Cameroun, Moukandjo n’étant pas attaqué à 40 mètres du but, je décidai d’appuyer sur la touche « D » de mon clavier, et le tir qui en découla termina sa course en pleine lucarne du portier adverse, impuissant. À l’inverse, un joueur moins en vue comme Clinton N’Jié est déclaré « ailier droit », mais il n’est pas impossible de le retrouver « arrière gauche » en raison d’un piètre qualité de « repositionnement » de 22 sur 99. Vous pouvez donc aisément constater que la fiction peut joindre la réalité, et par là-même me former au poste que je convoite.

 

« Avoir une bonne connaissance du Football Africain »

Je m’inscris en faux contre cette vision culturaliste du football. Le football est universel, vous le savez bien, et je ne vois pas ce qui justifie une spécificité du « football africain », si ce n’est que c’est ce football dans lequel réussit Hervé Renard. D’ailleurs, si je puis me permettre, on voit bien avec ce dernier cas que la « connaissance du football africain » ne garantit pas une réussite ailleurs, ce qui prouve bien qu’il faut connaître « le football ».

Je tiens tout de même à signaler qu’en tant que spectateur régulier des stades lillois, le premier match auquel j’ai assisté est un Lille/Saint-Etienne en 1993 et le gardien stéphanois n’était autre que Joseph-Antoine Bell, et il y avait parmi les lillois Jean-Jacques Étamé, lui aussi camerounais, comme quoi tout se recoupe. Par la suite, j’ai vu évoluer sous les couleurs lilloises les camerounais Jean Makoun, Benoît Angbwa, Aurélien Chedjou. Plus généralement, à l’échelle continentale, je me rappelle que Jean Fernandez faisait venir des joueurs africains comme Aliou Cissé. Nous avons eu plus tard Roger Hitoto, Abdelilah Fahmi, Salaheddine Bassir, et même un vainqueur de la ligue des champions africaine comme entraîneur : Vahid Halilhodzic. J’ai également vu jouer, comme adversaires, des célébrités telles que Japhet N’Doram ou Didier Drogba. Je me rappelle aussi des souvenirs de coupe du monde, en 1990 et en 1994 (j’avais enregistré le Cameroun/Suède) où l’ami Roger Milla l’a mis là.

« Être Entraîneur de Football de haut niveau titulaire des diplômes fédéraux ou étrangers obtenus à la suite des formations continues (Licence A, Licence A CAF, Licence A UEFA, Licence Professionnelle ou tous autres diplômes reconnus équivalents) »

Outre ma licence de droit acquise en 2005, j’ai obtenu il y a 12 ans déjà mon DCPDC (diplôme de commentateur professionnel depuis son canapé), mention très honorable, que j’ai perfectionné par l’acquisition en 2013 d’une CCJT (certification de conseils aux joueurs via la télévision), spécialisation « Centre ! Mais centre ! Raaa, trop tard ! »), longuement travaillée en fréquentant les travées des stades lillois.

Spectateur régulier du stade Grimonprez-Jooris puis du Stadium nord durant quelques années, j’ai pu expérimenter mes compétences à de nombreuses reprises, en anticipant par exemple un changement décisif qu’il a fallu effectuer. Autre illustration, ce cri mémorable poussé à l’encontre de Jean Makoun un soir de match : « donne à droite à Angbwa ! » hurlai-je. Aussitôt dit, aussitôt fait, Makoun donnant à Angbwa qui centra immédiatement sur la tête de Dagui Bakari, seul aux six mètres, qui envoya le ballon directement en touche. Certes, sur ce cas précis, l’action ne fut pas conclue par un but, mais c’est davantage l’idée que la conclusion qui a toujours guidé mon coaching. En faisant fi de la piètre qualité de certains joueurs, mes conseils pouvaient aboutir à une réalisation sublime. La jeune et talentueuse génération camerounaise montante me permettrait justement d’éviter ce genre de désagrément.

De plus, mon expérience d’entraîneur est également complétée par une pratique régulière du baby-foot. Dans le cadre de ce jeu, comment nier que chaque joueur tient un véritable rôle d’entraîneur ? Passage d’une ligne à l’autre, mouvement des joueurs, déstabilisation de l’adversaire… Sans oublier une certaine propension au suspense dans les matches serrés, familiarisant ainsi aux rencontres à forte pression.

« Avoir un bon palmarès (trophées ou titres nationaux et internationaux remportés comme joueur ou entraîneur de club ou entraîneur national) »

L’apogée de ma courte carrière de joueur fut sans aucun doute la victoire lors du célèbre tournoi annuel de Gondecourt en 2000, en catégorie « moins de 15 ans ». Ce jour là, devant un stade municipal comble (environ 54 personnes), nous écrasâmes notre voisin Bauvin par 4 buts à 1. Notre équipe put alors soulever la coupe tant convoitée sous les vivas de la foule et de la sono hurlant « allez le stade, allez ». Dans un joyeux esprit collectif, nous dédiâmes cette victoire à notre jeune entraîneur, que nous avions de façon fort opportune et originale surnommé « coach », pour l’esprit de camaraderie qu’il avait su instaurer au sein du groupe. Nous fûmes récompensés par une sortie au Quick et un bowling, pour ne pas oublier qu’une équipe, c’est aussi hors des terrains.

            Sur le plan virtuel, j’ai plusieurs fois gagné la ligue des champions avec des clubs de premier plan (Barcelone, Paris SG, Lille), et fait des parcours honorables en coupe d’Europe avec des équipes moins huppés mais au devenir intéressant (Boulogne-sur-mer, Mouscron, Montcuq).

« Être disposé à résider en permanence au Cameroun »

Figurez-vous, Monsieur le Président, que je disais récemment à un ami que le Cameroun était typiquement le genre de contrée dont j’ai un a priori positif. Il y a des régions, comme ça, où on n’aurait vraiment pas envie d’aller, alors que le Cameroun, ben non ça va. De plus, un pays dont la devise est « Paix, travail, patrie » ne peut que m’attirer car ce n’est pas sans rappeler deux des trois principes fondamentaux qui guident mon existence.

« Avoir une bonne connaissance de l’outil informatique (logiciels : Word, PowerPoint, Excel…). »

Pas de problème sur ce point  ma thèse et les enseignements que j’ai donnés ont nécessité l’emploi de ces divers outils.

« Avoir une parfaite connaissance de la langue Française et/ou Anglaise ».

Je vais ressortir ici mon bulletin de Troisième, troisième trimestre, dans lequel la professeure de français, pourtant sévère, écrit : « travail très satisfaisant. Élève réfléchi ». En outre, la présente lettre vous illustre mon goût pour la bonne blague habilement maniée.

« Avoir un bon carnet d’adresses dans le milieu professionnel »

Mon carnet d’adresses est très bon : il est de marque Oxford.

Enfin, vous demandez aux candidats un « projet de programme de travail couvrant la période 2016-2018 ». La région dans laquelle j’habite ayant élu un individu dont le mot d’ordre était « au travail ! », ça tombe bien. Voici ci-dessous 2 graphiques qui pointent un problème récurrent dans l’équipe du Cameroun : c’est tout d’abord le fait que notre attaquant est pris dans l’Eto’o.

 

 lettre damien 1

Illustration 1 : Attaquant pris dans l’Eto’o.

 

Notre arrière droit – je n’ai pas spécialement envie de m’attarder sur sa représentation en Schtroumpf – envoie un long coup de botte vers la surface adverse. L’adversaire, parfaitement organisé avec 4 arrières et 2 milieux défensifs, encercle notre attaquant, représenté par une étoile rouge : il est pris dans l’Eto’o. Il faudra donc travailler la mobilité des attaquants et la présence dans la surface, car là, vous voyez bien qu’on a inexplicablement perdu les autres joueurs.

 

 lettre dalien 2

 Illustration 2 : illustration parlante.

 

J’ai en ma possession un ensemble de schémas parlants. En voici un, illustrant le travail à réaliser au milieu de terrain. J’ai disposé un phylactère, « c’est pas sorcier », comme on dit chez vous. Comme me le souffle mon frère, je ne suis pas peu fier d’avoir mis le Douala.

 

            Voilà quelques-uns des axes sur lesquels je concentrerai mes efforts dans les années à venir.

 

            J’espère sincèrement que vous traiterez ma candidature avec le plus grand intérêt et en toute impartialité. Je reste bien entendu à votre entière disposition si vous souhaitez me rencontrer ou obtenir de plus amples informations sur mon projet. Vous trouverez mon CV synthétique, qui n’a rien à voir avec cette lettre et son domaine, en pièce jointe, puisque c’est demandé.

 

            Dans l’attente d’une réponse de votre part, veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de mes sentiments sportifs les meilleurs.

 

 

Damien BOONE

 

 

Cet article a été posté le Jeudi 17 décembre 2015 at 17 h 43 min et est rangé sous le LOSC est grand, le LOSC est beau. Vous pouvez suivre toutes les réponses à cet article à travers le RSS 2.0 Flux. Vous pouvez Laisser une réponse, ou rétrolien de votre propre site.

Un commentaire

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  1. Visiter mon site web

    31 mars 2016

    Permalien

    Jean-Eudes a dit:


    Bonjour,

    Un article ma foi somme toute intéressant ! J’espère que le président de la fédération camerounaise aura eu conscience de la qualité de votre argumentaire et de votre connaissance tecnico-tactique du milieu footballistique. J’espère vous voir sur BeIn Sports pour un Cameroun-Angola d’une grande qualité.

    Bien cordialement

    Jean-Eudes

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