Posté le 28 juillet 2016 - par dbclosc
Putain, mais Doukisor (2/2) ? Les bonnes pioches du LOSC
Suite de notre dossier sur les Doukisor ! Après les flops hier, les bons coups du LOSC. Même principe : il s’agit vraiment de s’attarder sur des inconnus (comme on suit le championnat belge, on ne parle pas de Delaplace qu’on connaissait un peu, mais il aurait pu figurer ici), et il y a sans doute une part de subjectivité que vous pouvez contester. En prime, un bonus « inclassables ».
Présentations par ordre alphabétique.
Milenko Acimovic (2004-2006)
Arrivé lors du mercato hivernal de la saison 2003-2004, il était en déshérence à Tottenham, où il n’est pas parvenu à s’imposer en 18 mois. Sa venue, conjuguée à celle de Tavlaridis derrière (voir plus bas), correspond à une sacrée embellie dans le jeu du LOSC, qui préfigure la superbe saison 2004/2005. Acimovic, c’est la classe : meneur de jeu élégant, belle vision du jeu, auteur de quelques buts superbes (un corner direct pour son premier match à Metz en janvier 2004, une patate dans la lucarne d’Elana en août 2004 contre Caen, un lob sur Wimbée à Metz de 30 mètres…), ou tout en finesse (des petits coups de patte dans le petit filet opposé). Et, bien entendu, son inoubliable but contre Manchester United au stade de France. Bon, il a obtenu aussi quelques pénaltys généreux, mais quand ça nous est favorable, on dit rien hein. Victime d’une fracture de la malléole et d’un arrachement des ligaments contre Sochaux en janvier 2006, il manque la fin de la saison et ne retrouve pas sa place, barré par la concurrence de Keita. Il quitte le LOSC sur la pointe des pieds, à une période où le club tourne bien, pour l’Arabie Saoudite, puis l’Autriche. Au total, il a joué avec le LOSC 47 matches en L1 (12 buts), 18 en coupe d’Europe (5 but) et 4 en coupes nationales (1 but).
Bojan Banjac (1996-1998)
Nous sommes d’accord : on peut s’interroger sur le fait de placer Bojan Banjac ici. Il n’est resté que deux saisons au LOSC, la première en étant parfois blessé, la seconde en ne jouant quasiment pas. Mais il a indéniablement apporté une touche technique au jeu du LOSC qui en avait manqué cruellement depuis quelques années. Son entente avec Miladin Becanovic a permis un superbe début de saison 1996-1997, avant que l’équipe ne s’effondre. Bémol : il ne marque qu’un but en D1, contre Nancy. En D2, Thierry Froger ne l’utilise qu’à 15 reprises, principalement comme remplaçant (1995-1997)
Miladin Becanovic (1995-1997)
Au départ, ce n’était pas vraiment gagné pour Becanovic : arrivé à Lille comme joker en septembre 1995, il avait raté un essai à Nantes, et était trop cher pour Lille durant la période officielle du mercato. S’il marque quelques minutes après sa première entrée en jeu, il apparaît rapidement qu’il est en surpoids et un peu pataud ; et même si son arrivée coïncide avec une embellie dans les résultats, il n’est pas vraiment le buteur attendu, puisqu’il ne score ensuite qu’à deux reprises, en coupe de la ligue. En revanche, il explose la saison suivante, comme on l’avait expliqué dans notre bilan de 1996-1997. 13 buts, pas mal de rêves durant un bon tiers de la saison, et un mémorable T. Shirt en souvenir : « tremblez gardiens, Becanovic va encore frapper ». Sur notre page facebook, Miladin nous avait indiqué que son passage à Lille était le meilleur moment de sa carrière. Par la suite, il a été transféré à Marseille, où il n’a pas marqué, avant de jouer pour Le Havre avec d’honnêtes performances. Il a remporté trois trophées avec le Partizan de Belgrade (deux titres de champions de Serbie et une coupe nationale). Pour plus d’informations sur le parcours de Miladin Becanovic, l’article que nous lui avons consacré est à relire ici.
Fernando D’Amico (1999-2003)
Est-il encore besoin de présenter Fernando D’Amico, à qui nous vouons un culte à DBC ? Arrivé en 1999 du club de deuxième division espagnole de Badajoz, il a d’abord été repéré sur cassette vidéo par Pierre Dréossi et Vahid Halilhodzic, avant de définitivement convaincre l’entraîneur à l’issue du stage d’avant saison à Saint-Cast-le Guildo. Pierre Dréossi raconte : « Recruter sur cassette, c’est une grosse erreur, et souvent une grosse connerie. Donc avec Vahid et le président, on s’est réunis, on s’est dit « qu’est-ce qu’on fait ?« . Il y avait la possibilité de le faire venir en France, on l’a fait venir, et après Vahid l’a pris en stage et a dit « ça ressemble au joueur qu’on a sur la cassette » ». Fernando se rappelle : « Alors que je faisais un essai au LOSC, Vahid m’a fait monter dans le bus sans dire si j’étais retenu ou non. Il m’a regardé dans les yeux et il m’a dit « oui », j’ai compris que j’allais rester ; émotionnellement c’est un moment fort ». La suite, c’est bien entendu la montée en D1 et la Ligue des champions ; mais ce sont aussi des courses dans tous les sens, des milliers de ballons récupérés, un public dingue de lui, une combativité à toute épreuve, et quelques shorts relevés. On lui a consacré un long article il y a quelques mois.
Aujourd’hui, Fernando s’occupe d’une académie de football du côté de Badajoz, d’où est originaire son épouse, et il ne manque pas de venir saluer de temps en temps DBC et ses lecteurs sur twitter et facebook.
Abdelilah Fahmi implore le ciel, alors que Dieu est juste derrière lui.
Abdelilah Fahmi (1999-2003)
Désiré par Vahid Halilhodzic, Abdelilah Fahmi s’installe à Lille avec la réputation d’être un solide défenseur à la lourde frappe de balle. À son arrivée, il frappait beaucoup de coups-francs, avant de les abandonner : il n’a finalement jamais marqué de cette manière. Nantes le voulait également, mais il a préféré retrouver l’entraîneur avec lequel il a été sacré champion d’Afrique en 1997 avec le Raja Casablanca. Il forme durant 3 ans avec Pascal Cygan une charnière centrale très costaude, puisque le LOSC termine meilleure défense de D2 en 2000, meilleure défense de D1 en 2001, et 5e en 2002. La dernière saison est un peu plus compliquée, comme pour tous. En fait, il reste durant la même période que Fernando, avec une trajectoire similaire, et les mêmes exploits partagés. En conflit avec Claude Puel, il quitte le club en 2003 et rejoint Strasbourg. Il termine sa carrière en Turquie, puis au Qatar. En 2001, il déclarait : « On a passé des moments extraordinaires à Lille, tellement intenses qu’ils sont impossibles à décrire. Ce qui s’est passé, on ne l’oubliera jamais. On est fier d’avoir fait partie de cette aventure et d’avoir donné un peu de rêve aux supporters lillois ; je ne les ai pas oubliés non plus ».
Vincent Enyeama (2011- )
Kader Keita (2005-2007)
C’est probablement Marco Ramos qui en parlerait le mieux, lui qui a tant souffert face à notre ivoirien en août 2006 en se faisant systématiquement déborder sur son côté. Mais avant de devenir ce formidable dribbleur, Keita a été un joueur au parcours atypique : passé par les Emirats et le Qatar, il a côtoyé Romario et Batistuta. Si ses capacités techniques sont reconnues, le joueur est réputé ingérable personnellement. Jean-Luc Buisine se rend au Qatar à plusieurs reprises pour négocier le transfert : pas de problème, l’entraîneur d’Al Saad Doha n’en veut plus. « Sportivement, on savait que Keïta n’était pas prêt. Il venait d’un championnat différent, il allait découvrir un rythme plus élevé et une charge de travail nouvelle » explique Buisine : en effet, les premiers mois sont laborieux mais Keita s’affirme peu à peu et se transforme en spécialiste des chevauchées solitaires. Auteur en outre de quelques superbes buts (raid personnel à Saint-Etienne, amorti de la poitrine et volée pied gauche contre Troyes), buteur à Milan, il est revendu une fortune à Lyon où, probablement, il a laissé un souvenir plus mitigé.
Simon Kjaer (2013-2015)
Avec Simon Kjaer, le LOSC réactive un vieux filon : la piste danoise. Il faut dire que son agent est Mikkel Beck. Il relance aussi une piste trouvée dès 2007 : le LOSC s’intéressait déjà à lui, l’avait fait venir à Luchin, mais n’avait pas payé la somme d’1 M€ réclamé par son club formateur, Midtjylland. Alors qu’il ne jouait que peu à Wolfsburg puis à la Roma, il retrouve donc Lille en 2013, et s’impose rapidement comme la bonne surprise du mercato. Solide, bon de la tête, excellent dans le jeu long, Kjaer est aussi un bon tireur de coup-franc. Avec Marko Basa et Vincent Enyeama, il signe un nouveau record dans le championnat de France : le LOSC n’encaisse que 4 buts lors des 16 premières journées. Il est transféré n Turquie pour 8 M€.
Vladimir Manchev (2002-2004)
Arrivé en 2002, tout frais meilleur buteur du championnat de Bulgarie, il est censé former une redoutable paire d’attaque avec Hector Tapia. En fait, il forme surtout un redoutable couple avec son épouse, une ex-Miss Bulgarie. Sur le terrain, Manchev a un style assez peu académique, donnant souvent l’impression de s’emmêler les pinceaux, tête baissée, mais il a su faire des chevauchées assez intéressantes. Pour sa première saison, il marque un honnête total de 7 buts, puis 13 en 2003-2004. Blessé à la fin de l’hiver, il perd sa place au moment où une nouvelle ossature, notamment avec Acimovic, se construit, et Matt Moussilou en profite pour s’imposer à la pointe de l’attaque. Il quitte le LOSC quelques mois plus tard.
Michel Bastos (2006-2009)
Jean-Luc Buisine, qui voyage décidément beaucoup, le fait venir de Figueirense FC, au Brésil. Comme Kader Keita, il lui faut quelques mois pour s’adapter. Rapide, doté d’une grosse frappe pied gauche, il a inscrit quelques coups-francs mémorables (à Sochaux, à Lyon), et des buts face à Lens, dont un très joli en 2007. Sa dernière saison, sous la direction de Rudi Garcia, est la plus accomplie, avec 14 buts et une influence considérable dans le jeu, permettant au LOSC de retrouver l’Europe.
Rafael Schmitz (2001-2007)
C’est ce qu’on appelle un bon coup à retardement. Débarqué en 2001 d’on ne sait où, il prend part à quelques bouts de match lors de sa première saison, au poste d’arrière gauche, et on ne peut pas dire qu’il y était très à l’aise. Pis quasiment rien durant les deux saisons suivantes. Il est prêté quelques mois en Russie, et revient à Lille lors de l’été 2004. à la surprise générale, il est titulaire lors du premier match de la saison contre Auxerre : le début de saisons pleines en défense centrale. Du travail propre, un excellent sens du placement, et un sacrée confiance qui tranche avec ses prestations fébriles des premières saisons. En 2007, il est prêté à Birmingham, avant de revenir en France, à Valenciennes. Souvent blessé, il termine sa carrière au Brésil.
Mile Sterjovski (2000-2004)
En août 2000, les supporters se rendant l’entraînement aperçoivent un joueur qu’ils n’identifient pas. Après quelques jours, la Voix du Nord annonce qu’un Australien d’origine macédonienne du nom de Mile Sterjovski est à l’essai au LOSC. Gros éclat de rire. Il arrive de Paramata Power, et a joué les Jeux Olympiques de Sydney en 2000. En fait, son agent a envoyé une cassette à plusieurs clubs européens, dont le LOSC, compilant quelques performances de Mile. Après deux semaines d’essai, Vahid dit banco. Il inscrit son premier but contre Sedan, mais se révèle vraiment quelques jours plus tard grâce à un doublé contre le PSG, lors d’un match à rejouer (2-0). Spécialiste des frappes sur le poteau, il était une valeur sûre, et fait partie des rares joueurs qui ont à la fois eu les faveurs d’Halilhodzic et de Puel, même s’il n’a jamais été vraiment titulaire indiscutable. Il est de ceux qu’on a appelés les « remplaçaires » : 91 matches en 4 ans, mais seulement 48 titularisations, et 15 buts. Ses performances à Lille lui ont permis d’être sélectionné en équipe première d’Australie : plus tard, il est convoqué pour la coupe du monde 2006. On se rappelle aussi un précieux but pour le maintien contre Rennes en 2003. Il est le dernier buteur de l’ère Vahid, en offrant la victoire contre le PSG en mai 2002 (1-0). La suite de son parcours est passée par la Suisse, la Turquie, l’Angleterre, et l’Australie. Une petit compil de ses buts lillois à voir ici.
Efstáthios Tavlaridis (2004-2007)
Défenseur grec prêté par Arsenal lors du mercato hivernal 2003-2004, il a apporté de la stabilité à la défense. Et pourtant, son premier match n’est pas un bon souvenir : il dévie un centre de Reinaldo dans le but de Wimbée, et le PSG s’impose grâce à ce csc. Cependant, ce match avait déjà permis de mettre en valeur les qualités athlétiques de Tavlaridis. Grâce au LOSC, il est sélectionné en équipe nationale grecque, mais après le titre européen de 2004. Sa dernière saison a été plus laborieuse, et il était même parfois agaçant tant les fautes inutiles, les cartons et les relances approximatives se cumulaient (s’il n’y a pas de faute idiote sur Saha, on n’aurait jamais entendu parler du coup franc de Giggs…). Mais bon, c’était bien !
Milivoje Vitakic (2004-2007)
Défenseur serbe aligné soit à gauche, soit en défense centrale, il a été un bon joueur, même s’il a de moins en moins joué sur le terrain durant les 3 ans qu’il a passés au LOSC. Il venait de l’étoile rouge de Belgrade, tout juste récompensé d’un troisième titre de champion de Yougoslavie. Il marque son seul but sous les couleurs de Lille en coupe d’Europe, à Athènes, pour une victoire 2-1. Mention spéciale pour son match à Manchester United où, au marquage de Ronaldo, il a été un gros bourrin envoyant plusieurs fois le Portugais en touche.
Robert Vittek (2008-2010)
Acheté 4 M€ à Nuremberg en 2006, revendu 2 M€ deux ans plus tard après 52 matches et 11 buts marqués, ces quelques chiffres ne plaident pas vraiment en faveur de cet attaquant slovaque. Et pourtant, on l’aimait bien le Robert : excellent joueur de tête, très technique malgré sa grande taille, doté d’une bonne frappe de balle des deux pieds, son problème était la vitesse, dans un système de jeu basé sur la projection rapide en avant prônée par Garcia. Il a parfois joué plus en retrait, en n°10, une position dans laquelle il a été très bon. Autrement dit, il se serait certainement davantage épanoui avec un Vahid, qui aimait les grands attaquants qui servaient de pivot et de remiseur, qu’avec Garcia. Mais indéniablement, il lui est resté quelque chose du grand espoir qu’il a été, puisqu’il avait signé un pré-contrat au Real Madrid à 17 ans, mais une sale blessure l’a empêché de rejoindre l’Espagne. Il détient en outre quelques records, comme par exemple le premier joueur à avoir inscrit deux triplés consécutifs en Bundesliga ; il est le premier buteur slovaque en coupe du monde, et y a inscrit 4 buts en 2010.
Bonus : Non classés
Adekamni Olufadé (2001-2002)
Joueur difficile à classer : arrivé en 2001 de Lokeren, cet attaquant togolais a peu joué, et est principalement entré en jeu dans des fin de matches assez tranquilles, à une époque où, de toute façon, on aimait tout le monde. Il n’inscrit qu’un seul but en championnat, mais décisif, à Sedan (1-1). Et il est surtout l’auteur de l’égalisation contre La Corogne en Ligue des Champions, grâce à une superbe frappe. Même s’il n’est l’homme que d’une action, elle reste gravée dans nos mémoires.
Marius Baciu (2002-2004)
Défenseur roumain arrivé en 2002 auréolé de trois titre de champion de Roumanie, Marius Baciu est un petit gabarit qui ne correspond pas vraiment à son poste. Arrivé du Steaua Bucarest, il était titulaire lors de la défaite à Paris 5-0 en août 1997 (le PSG avait perdu 3-0 sur tapis vert à l’aller). Cependant, il compense ses lacunes aériennes par une technique assez développée : il s’amusait à dribbler les attaquants adverses avec une certaine réussite, et quelques frissons pour les supporters. Tout de même 34 matches joués en deux saisons, et un but, à Strasbourg. Il a ensuite joué en Allemagne, en Grèce, (au Panserraikos Football Club, où ont aussi joué Becanovic et Murati), puis en Roumanie
Dante Bonfim Costa Santos (2004-2006)
Encore une trouvaille de Jean-Luc Buisine, qui va le chercher à l’EC Juventude, au Brésil. Son passage à Lille est assez quelconque, quoique ses performances en coupes nationales n’étaient vraiment pas dégueulasses : il avait même marqué un but à Saint-Etienne (dans ce match, même Peter Franquart avait marqué). La concurrence étant trop forte à Lille, il se révèle en Belgique, à Charleroi, et surtout au Standard de Liège, où il contribue largement à quelques trophées et à de belles performances en Europa League avec Jovanovic, Defour, Witsel et Fellaini. Malchanceux, il manque un pénalty à Liverpool en match retour de 3e tour préliminaire de Ligue des Champions, alors que l’aller avait accouché d’un 0-0. Liège est éliminé sur un but à la 119e… La suite de sa carrière, notamment au Bayern, est plus connue. Voilà, sinon « Bonfim », c’est ce qu’il faut dire avant chaque séance de ciné.
Le LOSC, c’est aussi des gros flops, à voir dans le premier volet de ce dossier « Doukisor ».
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14 janvier 2017
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BATIGOAL a dit:
Et qui se souvient de Kennet Andersson ??? Assez discret avec le LOSC, il part avec sa sélection à la World Cup 1994 pour pratiquement finir meilleur buteur de la compétition !!!!
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29 juillet 2016
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Xylophène a dit:
En fait, j’aurais plutôt mis Stephan à la place de Vincent. Non pas que « Jésus » était connu de tous (moi je le connaissais pas) à son arrivée – sans parler de sa provenance « exotique » – mais sa grosse expérience internationale (international nigérian depuis 2002) montrait tout de même que l’on n’avait pas à faire à la première (Charly) tanche venue.
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29 juillet 2016
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dbclosc a dit:
Ca se défend mais quand-même, Enyeama on pouvait se douter qu’on recrutait une belle doublure (et non une (charly) tanche comme tu le soulignes !), mais de là à faire ce qu’il a fait, je crois que peu auraient misé dessus ! Lichtsteiner ça restait très aléatoire mais je me souviens qu’il était quand-même déjà présenté comme le top en Suisse (et 30 sél. en Spoirs !) ce qui était quand-même mieux que Micahel Frey !
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28 juillet 2016
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Xylophène a dit:
Il manquerait pas Stephan Lichtsteiner, par hasard ?
Notre ancien Helvète était largement underground au moment de son arrivée au LOSC.
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29 juillet 2016
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dbclosc a dit:
Oui, en effet Stephan Lichsteiner aurait eu sa place ici ! S’il nous a été vendu avec une petite réputation, c’est sûr que je crois que pas grand monde aurait misé sur le parcours qu’il a ensuite connu.