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Posté le 28 mars 2017 - par dbclosc

Et Wimbée devint invincible

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Le 17 septembre 2000, Grégory Wimbée réalise une prestation exceptionnelle à Saint-Étienne. Pas de chance pour la Voix du Nord, cette performance coïncide avec un article publié le matin même dans les colonnes du journal, qui remettait en question la légitimité du gardien lillois.


Ce dimanche de septembre est un événement pour les supporters Lillois : c’est la première fois que le LOSC a les honneurs d’une retransmission télévisée dominicale sur Canal + depuis un Lille/Lyon, le 17 novembre 1996. Il faut dire que, depuis, le club a végété 3 ans en deuxième division, mais sur une pente toujours ascendante : après une première saison manquée en 1997/1998, l’arrivée de Vahid Halilhodzic en septembre 1998 a permis à Lille de redresser la barre, échouant de peu à remonter au printemps 1999, avant de signer une saison record en 1999/2000, avec le titre de champion de D2 à la clé. Le LOSC retrouve la D1 avec des prétentions modestes : il s’agit seulement de se maintenir dans l’élite. Les premiers matches ont été très encourageants, puisque le LOSC se hisse même en tête du championnat un soir d’août, après une victoire contre Rennes. Une nouvelle victoire contre Metz fin août cale tranquillement les Lillois en haut de classement, seulement devancés par les voisins Lensois. Mais le mois de septembre semble marquer la fin de l’euphorie estivale : sans Richert, Fahmi, D’Amico, Collot et Murati, blessés, deux défaites consécutives, à Bastia (0-1), puis contre Troyes (1-2), replacent rapidement l’équipe en milieu de tableau, et ramènent les supporters à une dure réalité : la saison sera difficile avec un effectif au complet, et d’autant plus avec des blessés. Se profile alors ce déplacement à Saint-Étienne, qui vient de se faire défoncer à Paris (1-5). A priori, pas le meilleur endroit ni le meilleur contexte pour se relancer. Et pourtant, Lille repart avec un excellent point (1-1). Surtout, ce match, couplé au suivant contre Lens, constitue un tournant dans la saison, pour l’équipe et plus particulièrement pour son gardien, Grégory Wimbée. Interrogé par Vincent Alix, sa réaction d’après-match illustre une grande satisfaction, et l’accomplissement d’une forme de revanche.

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D’habitude dans la modération et peu enclin à régler des comptes, on a connu notre Greg plus pondéré. Que s’est-il donc passé avec ce « journaliste de la Voix du Nord qui fait très mal son travail » ?

 WimbéeeeUne interview que l’on comprend mieux avec la caméra opposée


Le délicat rapport aux sources des journalistes

D’abord, soulignons que la Voix du Nord, en tant que presse quotidienne régionale, relaie quasi quotidiennement l’actualité du LOSC, au moins dans les éditions locales proches de la ville de Lille. Cette situation implique donc, pour les journalistes du quotidien, des relations de proximité avec les joueurs, principaux pourvoyeurs d’informations. Du point de vue des journalistes, il est parfois délicat de trouver la distance adéquate afin de concilier information envers le public, supposée neutre et objective, conformément aux idéaux journalistiques de transparence voire de pilier de la démocratie, et la nécessité de ne pas froisser ses sources, sans quoi, même sans aller jusqu’au boycott de la presse de la part de l’entreprise – ce serait mal vu, mais les Parisiens l’ont récemment fait –, les relations risquent d’être froides, et ce n’est jamais agréable, et si je veux j’allonge encore ma phrase. Bref, tout ça pour dire que, dans l’esprit d’un.e journaliste, toute « vérité » n’est peut-être pas bonne à dire, mais ça fait quand même un peu chier de devoir taire une « information » ou une opinion qui semble largement partagée. Et, en l’occurrence, la Voix du Nord avait manifestement un message à faire passer : Grégory Wimbée ne mérite pas sa place en première division. Écrit comme ça, c’est un peu trash. Dans quelle mesure et comment peut-on « mal » parler de ceux qui nous fournissent la matière de notre travail ?

Wimbée5

Histoire de ne pas s’engager personnellement ni d’y impliquer le journal, on peut alors faire passer une idée en faisant parler d’autres qui pensent comme soi-même. C’est la stratégie adoptée par Frédérick Lecluyse qui, dans l’édition du 17 septembre 2000, signe un article basé sur des témoignages saisis dans la semaine lors d’un entraînement du LOSC. L’idée est de saisir l’ambiance autour du club : venant des supporters, les propos ne peuvent alors que refléter une certaine authenticité, et révéler ce que tout le monde pense tout bas1. Donner la parole aux supporters, c’est ainsi la garantie de relayer un propos brutal tout en se dédouanant de l’avoir écrit en son nom propre.

 

Pas de ménagement à Troyes

Au menu de cet article, titré, reprenant une parole de supporter, « On savait que ce serait dur ! »  : les inquiétudes autour des blessures, des deux défaites consécutives, et de Grégory Wimbée : « La longue absence de Teddy Richert, remplacé par un Greg Wimbée qui s’est un peu troué samedi dernier sur le second but troyen, relance aussi le débat : « C’est sûr qu’on ne retient que les erreurs du gardien, mais je pense que Lille devrait penser à recruter à ce poste car on peut craindre que Richert ne revienne jamais », pense Benoît, de Lomme. « On le savait que Wimbée n’avait pas le niveau » tranche Stéphane. « Il est trop nonchalant », complète David, un jeune Marquettois ». Voilà donc le déclencheur du courroux2 : une performance jugée médiocre contre Troyes, une semaine auparavant. Jbari, le joueur préféré de Babar, excellent en défense, ouvre le score ; Bruno Cheyrou égalise rapidement. Puis, tout particulièrement, Greg Wimbée est mis en cause sur le deuxième but troyen : une reprise instantanée de Nicolas Goussé à 20 mètres, effectivement pas très puissante, mais soudaine et bien placée. Chacun peut se faire son opinion à partir d’un résumé du match, ci dessous:

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Mais si l’on en croit les témoignages de l’article, les performances de Greg sont remises en question depuis bien plus longtemps. Quel a été son parcours jusqu’alors ?

 

Un gardien correct, en manque de confiance

Quand Grégory Wimbée débarque à Lille à l’été 1998, c’est auréolé – et non Aréola – d’une sacrée réputation : il est en effet à ce moment le premier et seul gardien à avoir inscrit un but sur une action de jeu, et ce contre ces pauvres Lensois, et contre ce malheureux Jean-Claude Nadon (on en avait parlé ici). Mais sa carrière lilloise est commence sans relief particulier : malchanceux, il a même marqué contre son camp lors de son premier match à Grimonprez, contre Guingamp, en août 1998. Hormis une période, fin 1998, où il perd même sa place au profit de Bruno Clément durant 7 matches après une prestation collective décevante contre Ajaccio (1-3), Grégory Wimbée est un gardien de but qui fait le job, sans être ni spécialement mauvais, ni particulièrement décisif. Il a tout de même à son palmarès un fait d’armes particulièrement cocasse dont, à notre connaissance, il n’y a pas d’autre exemple : contre Gueugnon, en octobre 1998, il détourne deux fois le même pénalty. Explication : un pénalty est sifflé pour Gueugnon : Alain Bettagno s’élance, et Greg détourne sur sa droite. Oui, mais l’arbitre fait retirer le pénalty : étonnamment, changement de tireur, c’est cette fois Fabien Weber qui frappe : Greg détourne de nouveau, sur sa gauche. Quelques minutes plus tard, Pascal Cygan inscrit le but de la victoire en détournant une frappe de Momo Camara. Cadeau DBC : on a cette action avec la voix de Vincent Delcroix, sur Fréquence Nord. C’est tellement la fête du football dans la métropole lilloise en quelques minutes que Wasquehal marque en même temps à Guingamp.

http://droguebierecomplotlosc.unblog.fr/files/2017/03/wimb_e_.mp3 « L’ami Bettagno »


Grégory Wimbée est ensuite le gardien de la meilleure défense de D2 en 1999/2000, avec seulement 25 buts encaissés. Il reste difficile d’isoler les performances individuelles d’un gardien du reste de l’équipe, mais il est significatif que Greg avait réussi la même performance avec Nancy en 1996, avec seulement 23 buts encaissés, et ce dans une D2 à 22 clubs. Seules ombres au tableau lors de cette saison : ses deux expulsions, contre Sochaux, puis contre Guingamp (mais « c’était pas juste » nous disait Fernando), et une perte de balle face à un attaquant en voulant dribbler, ce qui nous a coûté un but à Cannes en mars 2000 (2-2). Faisant parfois passer quelques frissons dans le stade en cas de passe en retrait d’un de ses équipiers, Greg est à Lille dans la continuité de sa carrière professionnelle : potentiellement excellent mais un peu sur la retenue. Il a tout de même été international Juniors et compte une vingtaine de convocations en Espoirs (pour 4 titularisations), avant de connaître une forme de « relégation professionnelle », en défendant les buts d’équipes de bas de tableau en D1 (Nancy, Cannes, avec 2 descentes), puis en retrouvant la D2 avec Lille.

Wimbée2


Numéro 2, puis numéro 1

Lille et Greg Wimbée retrouvent la D1 en 2000. Sans que cela ne choque grand monde, le club se met en quête d’un gardien, car Greg est voué à devenir n°2. Teddy Richert, doublure d’Ulrich Ramé à Bordeaux, débarque. Il a à son actif deux saisons pleines en D1 et une demie en D2, avec Toulouse : sur le papier, un profil pas tellement différent de Wimbée, et même moins expérimenté. Pour le premier match de la saison, Richert garde correctement le but lillois, avec à l’arrivée un valeureux nul contre Monaco, champion en titre (1-1). Mais, dans la semaine, le gardien se blesse gravement à l’entraînement : rupture du tendon d’Achille, et longue indisponibilité. Logiquement, Grégory Wimbée est alors promu n°1, a priori jusqu’au rétablissement de Richert. On ne le sait pas encore, mais on ne reverra plus Teddy sous le maillot lillois. Greg prend part aux victoires à Strasbourg (4-0), puis contre Rennes (1-0). À Sedan, il est de nouveau expulsé pour une main hors de sa surface, l’occasion d’offrir à Eric Allibert deux apparitions en D1 : il encaisse un but sur le coup-franc qui suit, seul but du match, puis garde le but contre Metz (2-1). Greg revient pour le match à Bastia (0-1). Et arrive donc le match contre Troyes, qui accouche donc de l’article de la Voix du Nord le 17 septembre, juste avant le déplacement à Saint-Étienne.

Et donc voici une partie de la performance de Greg ce soir-là, qui explique sa réaction vue plus haut : il cède face à Alex à la 21e, puis s’interpose notamment contre ce même Alex (36e, 77e, 91e), Panov (49e) et Pédron (81e). Incontestablement, si Lille prend un point, c’est grâce à son gardien. C’est aussi l’occasion de revoir notre n°1 du Top 18 des buts à la con du LOSC. Le commentaire de France 3 ne manque pas de faire référence aux critiques que Greg a subies dans la semaine :

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La Voix du Nord applaudit la performance

Dans l’édition du mardi 19 septembre, toujours sous la plume de Frédérick Lecluyse, Grégory Wimbée est en tête du « Top 5 » des joueurs lillois, avec ce commentaire : « Troyes est oublié. Le gardien Lillois a tout simplement permis aux siens de revenir du Forez avec le point du match nul ».

Wimbéeetop

Dans la partie sur l’analyse du match, le même journaliste : « si le LOSC n’a plié qu’une seule fois, il doit en grande partie à son gardien Grégory Wimbée, qui a sans doute sorti un de ses meilleurs matches depuis qu’il est au LOSC. Très fâché par les déclarations de quelques supporters (notre édition de dimanche), le grand Greg a effectué des arrêts de grande classe, et démontré qu’il avait largement sa place en D1. Ses coéquipiers et le coach étaient unanimes dans l’hommage. Tout comme d’ailleurs l’ancien Lensois Jean-Guy Wallemme, capitaine des Verts, et le néo-stéphanois Patrice Carteron ». F. Lecluyse prend la position de celui qui n’a fait que jouer un rôle de médiateur, semblant même s’opposer aux propos qu’il a relayés, reprenant du coup l’appellation « Grand Greg ». Alors, mea culpa ou position d’absolue neutralité du journaliste parfait ? Sans doute beaucoup de l’un, et un peu de l’autre. Un autre article, dans la même édition, signé cette fois Sébastien Darnaux, souligne : « sur le plan psychologique, ce nul au goût de victoire a fait le plus grand bien au club. À Grégory Wimbée également ! Le gardien du LOSC, pas très brillant face à Troyes, s’est repris de la meilleure façon qui soit en intervenant efficacement devant le duo Alex-Panov, impuissant ». Beau compromis  : « mon collègue n’avait pas tout à fait tort mais Wimbée est aussi un excellent gardien ».

Wimbée Valois

Et histoire de tout remettre à plat, le vendredi 22 septembre, la Voix du Nord offre un portrait croisé de Guillaume Warmuz et de Grégory Wimbée, à l’avant-veille du derby. Greg y est qualifié de « héros de Geoffroy-Guichard ». La parole est donné à ses entraîneurs. Vahid Halilhodzic : « Je savais pouvoir compter sur lui. Il a répondu à mes attentes ! » ; Jean-Pierre Mottet : « Cela fait deux ans et demi qu’il est performant. Il n’a connu qu’une période difficile chez nous : lorsque Bruno Clément avait pris sa place. Et puis, si Lille a terminé meilleure défense de D2 l’année dernière, c’est aussi grâce à lui ».


Image de prévisualisation YouTube On a fait un petit montage pour résumer tout ça

On dit merci qui ?

Alors, merci la Voix du Nord ? Ce serait une explication bien trop hâtive : s’il suffisait de dire qu’un joueur est « mauvais » pour qu’il devienne excellent, le football devrait une fière chandelle à Pierre Ménès et à Jean-Michel Larqué. Nul doute que Grégory Wimbée a été piqué par cet article, dont on conçoit que certains passages, mettant explicitement et publiquement – c’est quand même une particularité du métier dont on a sans doute peine à évaluer la portée3 – en cause son niveau, ont pu être considérés comme blessants, et l’ont peut-être surmotivé. Mais ce serait faire bien trop d’honneur au rôle de la presse : on ne s’improvise pas excellent gardien. Cela rappellerait la pathétique défense de Jérôme Bureau, patron de L’équipe, après le titre mondial en 1998 : en gros, si les Bleus sont devenus champions du monde, c’est parce que la ligne éditoriale du journal, critique voire diffamante envers Aimé Jacquet, a soudé le groupe. Ce serait surtout mettre de côté le travail réalisé avec Jean-Pierre Mottet depuis l’arrivée de Greg à Lille. Et, cela compte aussi beaucoup chez un homme comme Grégory Wimbée, le simple fait de vivre à Lille, dans un environnement qui lui convient et contribue largement à son épanouissement professionnel. Ce n’est pas un hasard s’il habite encore dans le coin. En fait, la relation entre Grégory Wimbée et la Voix du Nord avait commencé la semaine précédente, juste avant le match contre Troyes. Le quotidien avait dressé un portrait plus personnel de Greg : il posait avec ses enfants, Manon et Théo, évoquait la profession de ses parents, son déménagement dans le Vieux-Lille, les bouffes avec Bruno Cheyrou, Sylvain N’Diaye et Dagui Bakari. Et on pouvait lire : « Le déménagement à Lille m’a sauvé. Au cours de la saison 97/98, j’étais à Cannes. J’habitais Grasse, plus précisément. C’est affreux là-bas. Les gens sont superficiels. On peut vous dire plusieurs fois de venir manger à la maison sans lancer une véritable invitation ». Alors, voilà notre interprétation : l’arrivée de Grégory Wimbée à Lille l’a replacé dans un contexte propice à sa réussite. Le grand espoir qu’il était sommeillait encore. Après deux saisons correctes, les résultats de son travail sont apparus de façon éclatante un soir à Saint-Étienne, le jour où la Voix du Nord le critiquait. Simple coïncidence chronologique. Et depuis, Greg est devenu invincible, comme ce jour où il fut sauvé 4 fois par ses poteaux, et où il arrêta un pénalty. C’était… à Troyes, un an après. La chance et le talent des très grands gardiens.

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FC Notes :

1 À la différence de Pierre Ménès qui, comme l’énonce très justement notre estimé collaborateur Jean-Marie Pfouff, « dit tout haut ce que personne ne pense tout bas ».
2 À propos, vous avez vu l’actualité en Guyane ?
3 Tiens, imagine que, au boulot, tu rédiges mal un rapport : le lendemain, le quotidien local, fait parler les gens de ta boîte : « ouais franchement, Duchmol a vraiment une grammaire pas au niveau », « on savait que ce boulot serait dur pour lui », « faudrait penser à le remplacer… ». Oui, je sais, tu t’appelles pas Duchmol, c’était un exemple.

Cet article a été posté le Mardi 28 mars 2017 at 9 h 30 min et est rangé sous Donne-nous des nouvelles .... Vous pouvez suivre toutes les réponses à cet article à travers le RSS 2.0 Flux. Vous pouvez Laisser une réponse, ou rétrolien de votre propre site.

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