Posté le 11 septembre 2018 - par dbclosc
Plus jamais ça : 21 actions dégueulasses réalisées par les Dogues
Il faut bien l’admettre : on ne voit pas toujours du beau jeu quand on regarde le LOSC. La faute, bien sûr, à quelques ennemis infiltrés qui participent au grand complot contre le LOSC. Nous avons sélectionné 21 de ces actions, depuis une vingtaine d’années. C’est tout à fait arbitraire et ne demande qu’à être complété grâce à votre mémoire.
N°21 : le loupé de De Préville (Strasbourg-Lille, 13 août 2017)
Match mémorable ce le 13 août 2017 au stade de la Meinau : le LOSC (Bielsa) a déjà effectué deux changements (blessures de Thiago Mendès puis de Malcuit) lorsque, à la 35e minute, El Ghazi centre pour De Préville seul aux 6 mètres, qui va immanquablement ouvrir le score. Eh bien non : il frappe à côté de la balle. Dans la foulée, Bielsa effectue un troisième remplacement. On connait la suite.
N°20 : le dégagement de Lichtsteiner dans les couilles de Tafforeau (Lille-Strasbourg, 27 octobre 2007)
Nous sommes le 27 octobre 2007 : le début de saison des Dogues est laborieux. Il faut dire que bon nombre de vedettes sont parties (Bodmer, Keita, Odemwingie) après quelques années de grande réussite. Et ce soir-là, Lille va être à peu près au creux de sa saison, tandis que Strasbourg en sera à son sommet ; on en avait parlé ici : finalement, le LOSC va jouer l’Europe jusqu’au bout et Strasbourg sera relégué. Avant cet heureux dénouement (pour nous en tout cas), Puel aligne une audacieuse doublette Kluivert/Tahirovic devant, et Lille s’incline 0-3. Et on n’est pas passé loin du 4e but alsacien : il aurait fallu que Lichtsteiner ne sauve pas en catastrophe aux 6 mètres, et que son dégagement merdique rebondisse sur les genoux, et non sur les couilles, de Grégory Tafforeau. Bref, un ballon sauvé mais 2 boules perdues.
N°19 : Frédéric Dindeleux, un cadeau pour le nouveau-Née (Caen-Lille, 8 mars 1997)
Le LOSC a fait un excellent premier tiers de championnat et, depuis, dégringole. En Normandie, les Lillois vont se retrouver relégables pour la première fois de la saison, après une défaite 0-1 contre un concurrent direct. Un but marqué après… 14 secondes, alors même que les Dogues avaient l’engagement. Mais une perte de balle de Rabat dans le rond central et un air-dégagement de Frédéric Dindeleux permettent à Frédéric Née d’inscrire le seul but du match.
N°18 : Marko Basa, le novice du pénalty (Lille-Toulouse, 14 décembre 2014)
On est mi-décembre, et Lille, bouffé par l’Europa League, n’a pas gagné depuis fin septembre. Ce match commence bien : Toulouse est réduit à 10 dès la première minute après une faute sur Origi qui partait au but : pénalty ! Ledit Origi ayant fait preuve de quelque maladresse lors de cet exercice durant les semaines précédentes, c’est Marko Basa qui s’y colle. Mais il n’a pas l’habitude et est tout paniqué ! Il marque dans un premier temps, mais personne n’est prêt, et l’arbitre n’a même pas sifflé. Deuxième tentative : il n’attend toujours pas le coup de sifflet, s’élance, et le sifflet retentit en fait durant la course d’élan. L’arbitre dit donc OK, mais c’est très mal tiré et Ahamada arrête sans problème. On peut supposer que si Marko avait marqué, il aurait fallu le retirer.
N°17 Jean-Claude Nadon, une dernière en championnat (Gueugnon-Lille, 16 septembre 1995)
Début de saison à chier pour les Lillois : 8 matches, 2 points, et l’entraîneur a déjà changé. Il s’agit alors de rendre visite aux promus gueugnonnais, c’est pas facile à écrire sur un clavier. Si Nadon s’est illustré en début de saison en repoussant un pénalty de Moravcik à Saint-Etienne, il connaît une période difficile : la semaine précédente, il a été responsable du 2 des 3 buts lensois, pour une victoire des Sang & Or dans le derby (3-1). Ce déplacement à Gueugnon est la dernière apparition en championnat de Jean-Claude Nadon, titulaire depuis 1989 avec le maillot lillois,. Sur le premier but, il repousse du poing en plein dans l’axe ; sur le 2e, il sort, ne sort pas, puis sort, enfin en tout cas ça fait but. Lille s’incline 1-3, Jean-Marie Aubry prend le relais, Lille se redresse puis se maintient miraculeusement.
N°16 Junior Tallo, RIP l’attaque (Angers-Lille, 28 novembre 2015)
Premier match d’Antonetti sur le banc lillois, après le renvoi de Renard et l’intérim de Collot. Mais une certaine continuité se ressent. Sur un centre d’Eric Bauthéac, Junior Tallo n’a plus qu’à pousser le ballon aux 6 mètres au fond des filets. Mais il décide de contrôler, ce qui constitue déjà un mauvais choix. Puis il rate son contrôle face au but vide. La défense dégage. Heureusement, Junior « pépite » Tallo est parti. Comme dit le proverbe : tant va la cruche Tallo qu’à la fin il se casse. Désolé, on n’a pas la vidéo.
Junior Tallo, 2 buts contre Lille (avec Ajaccio), et un pour Lille (contre Amiens AC, en coupe, sur pénalty)
N°15 : Thiago Mendès, c’était plus difficile de la mettre au-dessus (Lille-Monaco, 15 mars 2019)
En 2018/2019, le LOSC renait (Girard). Puisque tout ne peut pas être parfait, on compte tout de même deux défaites à domicile : contre Toulouse, puis contre Monaco, à l’approche du sprint final. Lille aurait pu ouvrir le score si le centre en retrait de Pépé avait trouvé l’adresse d’un des trois lillois isolés, mais Thiago Mendès a préféré reprendre nonchalamment au-dessus, ce qui ne compte pas pour un but.
N°14 Milivoje Vitakic, la passe presque décisive (Lille-Troyes, 13 août 2005)
Après s’être brillamment qualifié pour la Ligue des Champions à l’issue de la précédente saison, le LOSC reprend ce championnat 2005/2006 du bon pied (victoire contre Rennes puis nul à Ajaccio). Mais les Dogues trébuchent contre Troyes, promu. Menés 0-2 à la pause, ils semblent confondre vitesse et précipitation à l’image de Vitakic qui, voulant jouer rapidement un coup-franc défensif vers Bodmer, envoie le ballon dans l’axe en plein sur un adversaire qui, par chance, ne trouve pas le cadre vide.
N°13 Marko Basa, du mauvais côté (Lille-Rennes, 15 mars 2015)
Comment ça, ça ne se fait pas de placer Marko Basa dans ce genre de classement, et deux fois qui plus est ? Ben la preuve que si. Les Lillois engagent. Au bout de quelques secondes, le ballon arrive sur Marko Basa. Légèrement pressé, il se retourne vers Enyeama… et envoie un missile en corner, alors qu’il avait un grand éventail de solutions. Voilà la description qu’en fait L’Équipe, puis la vidéo :
N°12 Nolan Roux, si proche du csc (Lille-Nantes, 15 mars 2014)
Match infâme au stade Pierre Mauroy. Le LOSC est pourtant bien classé mais on se fait profondément chier depuis quelques mois. Par bonheur, Nolan Roux sort le public de sa torpeur. Sur un corner nantais, Djidji remet vers le premier poteau où se trouve Nolan Roux, qui se trompe de côté et envoie un amorti de poitrine un peu trop appuyé vers son propre but. Mais c’était oublier un peu tôt que la formation qu’il a acquise en cirque durant ses années de jeunesse permet de Nolan d’enchaîner avec une bicyclette, du bon côté cette fois, qui fracasse la transversale et ressort. Et ça le fait rire.
N°11 : Pascal Nouma, (Lille-Saint-Etienne, 22 mai 1993)
Pascal Nouma joue son premier match avec le LOSC en novembre 1992 : il est arrivé en tant que joker afin de donner un coup de main à une attaque qui, en 15 matches, a alors marqué… 5 buts. 20 matches, plus tard, à l’aube de la 36e journée, le LOSC a marqué 24 buts : on constate dès lors que la moyenne de buts marqués s’est grandement améliorée (même si elle reste toute pourrie). L’apport de Nouma là-dedans ? Deux buts. Auxquels on peut ajouter un pénalty manqué contre Lyon (frappé à côté). Résultat : Lille est premier non relégable, 2 points devant Valenciennes (victoire à 2 points). Les Dogues seraient donc bien inspirés d’écarter les Verts, septièmes. Nouma a l’occasion de mettre le LOSC devant : après un beau débordé d’Eric Assadourian, il est seul aux 6 mètres et n’a plus qu’à conclure du plat du pied au second poteau. Mais il envoie sur le poteau. Résultat, encore un 0-0. Fort heureusement, Lille se rend ensuite chez la lanterne rouge, Nîmes, et assure son maintien après un… 0-0.
N°10 Anwar El-Ghazi, un coup-franc ambitieux (Lille-Marseille, 29 octobre 2017)
On vit un début de saison dont les résultats sont inverses aux attentes qu’il a suscitées. Nous sommes relégables et les jours de Marcelo Bielsa sont déjà comptés. Cependant, l’équipe montre un beau visage ce soir-là, et particulièrement Anwar El-Ghazi, très en vue. Se sentant pousser des ailes, il prend en charge un coup-franc à 35 mètres du but de Mandanda, à proximité de la ligne de touche. Les grands sont montés : on va sans doute chercher une tête. Non : le Néerlandais tente de surprendre tout le monde en frappant directement. Mais le ballon peine à décoller du sol, et si on ajoute à cela une puissance de tir en-dessous de tout, on a un coup-franc complètement gâché.
N°9 Mikkel Beck, la soirée de l’esthétique (Saint-Etienne-Lille, 17 septembre 2000)
Le LOSC vient de remonter en D1. Après un début de saison encourageant, le doute s’est installé avec deux défaites consécutives à Bastia (0-1) puis contre Troyes (1-2). Ce déplacement à Geoffroy-Guichard offre une première période très ouverte et animée, et Alex trompe Grégory Wimbée à la 20e minute. Mais les Lillois se créent aussi quelques occasions franches : après un duel remporté par Wimbée (il en gagnera un paquet ce soir-là), Boutoille parvient à décaler Agasson côté droit tandis que la défense stéphannoise est très haute. Ted déborde, tard peut-être à donner le ballon mais parvient tout de même à faire une passe largement exploitable pour notre attaquant Danois. Mais celui-ci, aux 6 mètres sur son pied droit, fait un lamentable botté tibia-genou qui file 2 mètres à côté. Par chance, il inscrit quelques minutes plus tard un but que nous avons placé n°1 de notre « top buts à la con », et le LOSC ramène un très bon point.
N°8 Dagui Bakari, un affreux lob (Lens-Lille, 4 février 2001)
C’est le premier derby à Bollaert depuis près de 4 ans. À l’aller, les Dogues se sont imposés dans des conditions inoubliables. Depuis, les trajectoires des deux clubs se sont croisées : Lens traîne en fond de classement, et le Lille est en tête du championnat depuis une semaine. Sur sa lancée, le LOSC ouvre le score en début de seconde période. Rarement inquiétés, les Lillois exploitent mal quelques contres : par exemple, à la 59e minute, Pascal Cygan balance une balle à l’emporte-pièce qui surprend la défense lensoise, très mal alignée. Dagui Bakari se retrouve absolument seul dans les 30 derniers mètres ; il a même Djezon Boutoille à ses côtés pour assurer le 0-2. Mais il se précipite et envoie un drop dans la tribune. Heureusement, le score n’a pas bougé.
N°7 Pegguy Arphexad, le gardien troué (Marseille-Lille, février 1997)
Le 4 février 1997, le LOSC éliminait l’OM en coupe de France. Une qualification chèrement payée : son gardien Jean-Marie Aubry a une déchirure à la cuisse gauche. C’est donc sa doublure qui va jouer les 3 matches suivantes : si, pour sa première, Pegguy Arphexad s’en tire très bien en coupe contre Lyon, ses deux matches de championnat virent au fiasco : 1-5 à Marseille, puis 2-4 contre Strasbourg, et une responsabilité largement engagée sur la moitié des buts. Il avait déjà encaissé 7 buts en 210 minutes avec Lens en D1 : ça aurait dû nous alerter.
On a choisi le but de l’égalisation signé Marc Libbra, mais on avait aussi cette très belle sortie devant Xavier Gravelaine.
N°6 Vladimir Manchev, tout est dans le contrôle (Lille-Strasbourg, 22 janvier 2003)
Lille est en plein dans une sale série de 7 défaites consécutives qui va le planter en fin de tableau jusqu’à la fin de saison. Pourtant, ce soir-là les Lillois reçoivent des Strasbourgeois qui ne sont qu’un point devant au classement et 12e, ce qui semble une bonne occasion de se relancer. Hélas, les saucisses ouvrent le score à la 88e à l’issue d’un bien terne match. Mais, dans le temps additionnel, le gardien de Strasbourg, Vincent Fernandez, dégage horriblement une passe en retrait d’un de ses coéquipiers, et le ballon arrive directement sur Vladimir Manchev, l’une des rares satisfactions du dernier mercato. Hélas, le Bulgare tente de reprendre de volée du plat du pied qui passe largement à côté. Une défense de fer, une attaque de feu : un beau résumé de l’année 2003 à Grimonprez-Jooris.
N°5 Jonathan Bamba, le drop
Avril 2023 : le LOSC de Fonseca, si séduisant dans le jeu, a une fâcheuse tendance à gaspiller des occasions devant et à encaisser des buts un peu idiots. Le match contre Lorient en est une nouvelle illustration : après une première période à sens unique, le LOSC ne mène « que » 1-0. Et bien entendu, Lorient égalise sur un but stupide à 10 minutes du terme. Alors, encore des points bêtement perdus ? C’est ce que l’on croit quand, à la 81e, Bamba manque une incroyable occasion. Un centre de Weah est remisé par Gudmunsson, dans les pieds de Bamba, seul aux sic mètres. Son contrôle est approximatif mais il est tant isolé qu’il a encore largement le temps de se positionner de sorte à marquer à coup sûr. Malheureusement, il se précipite et frappe du gauche alors que son pied est en trajectoire ascendante. Dans ces cas-là, ça part généralement vers le haut. Et ça finit bien au-dessus. Une belle prouesse !
N°4 Benoît Cheyrou, la combinaison individuelle (Lille-Marseille, 22 novembre 2003)
Après un début de championnat canon ponctué par 3 victoires, le LOSC n’a plus gagné depuis 3 mois. Et apparemment, ça ne va pas s’arranger puisqu’on est menés 0-2 à domicile par l’OM. Mais Lille peut sauver l’honneur avec un coup-franc bien placé dans les dernières secondes du match. À proximité du ballon : Tapia, Makoun et Benoît Cheyrou. C’est ce dernier qui, très astucieusement, ne frappe pas le ballon mais place un petit ballon à côté du mur qui, paniqué, se disloque. Mais il n’y a personne : Brunel n’est pas parti. Ni personne d’autre d’ailleurs. Runje récupère donc le ballon tranquillement. Une action pas travaillé à l’entraînement, à ne pas montrer dans les écoles de football.
N°3 : Ali Lukunku, le retourné dans la tribune (Lille-Toulouse, 17 janvier 2004)
Prêté par les Turcs de Galatasaray, Ali Lukunku arrive au LOSC durant un mercato hivernal 2003-2004 aux pioches diverses (Sofiane, Tavlaridis, Acimovic et lui-même). Au cours du mois de janvier 2004, Lille est sur la lancée d’un début d’exercice très moyen. Comble de malchance, Christophe Landrin se blesse lourdement en début de match : Ali Lukunku le remplace, pour une prestation d’anthologie, sa seule sous le maillot lillois en D1. Cédric Fauré ouvre la marque à la 37e. Mais Lille réagit : suite à un coup-franc excentré à droite, le ballon traîne dans la surface et arrive à proximité des 6 mètres : « Tiens, je vais faire une bicyclette, comme ça je reste dos au but et ce sera plus fastoche » se dit Lukunku. Sauf que le cher Ali, peut-être gêné par quelques kilos en trop, oublie un tantinet de se coucher, et prend le ballon alors qu’il est bien trop haut. Résultat : le ballon s’envole quasiment à la verticale en Secondes.
Par la suite, il a été contrôlé positif lors d’un mach de la réserve. Après un retourné pareil, ce serait quand même une circonstance très aggravante d’être effectivement dopé.
Notez qu’en début de match, la fameuse combinaison sur coup-franc (voyez le n°3) a cette fois fonctionné
N°2 : Frédéric Machado : le missile à côté (Marseille-Lille, 16 mars 1996)
Quart de finale de coupe de France 1995/1996 : après un beau parcours, surtout comparé aux difficultés rencontrées en championnat, les Lillois se déplacent à Marseille, en tête de la Division 2. Le match est équilibré et assez pauvre en occasions, jusqu’à ce que l’arbitre accorde un pénalty scandaleux à l’OM pour une prétendue faute de Cygan, que Bernard Ferrer transforme (81e). Dans les dernières minutes, afin de prêter main-forte à Becanovic, Collot et Simba, Jean-Michel Cavalli joue le tout pour le tout en faisant entrer un nouvel attaquant à la place de Fabien Leclercq : Frédéric Machado. Le jeune lillois va toucher un ballon durant ses 5 minutes sur le terrain. Et quel ballon ! Sur la toute dernière attaque lilloise, Cygan trouve Bécanovic qui remise sur Simba ; comme d’habitude, Amara dévisse sa frappe, mais le ballon traîne devant les 6 mètres où se trouve Fred Machado, absolument seul, qui allume Alonzo face au but quasi vide… à côté. Et c’est fini dans la foulée. Oui, c’est vache de mettre ce brave Fred dans ce classement de l’horreur, et à sa décharge la « frappe » de Simba tourne fort, mais c’est tout de même prodigieux.
N°1 : Remy Cabella, 96% de chances de marquer (Reims-Lille, 7 mai 2023)
Comme à son habitude au cours de cette saison, le LOSC se crée beaucoup d’occasions mais a du mal à marquer. Et, comme trop souvent, Remy Cabella, par ailleurs très intéressant à la construction, est en peine dans le dernier geste, semblant préférer rentrer dans le but avec le ballon que frapper. Ça tombe bien : à Reims, il a justement l’occasion de le faire. Mais, même dans cette position, ça ne marche pas : sur un centre de Zhegrova, à 3 mètres du but vide, Cabella reprend mollement du mauvais pied, et avec une mauvaise surface. Le ballon n’est que poussé mollement vers le but, et le gardien rémois a le temps de revenir en catastrophe. Selon le centre statistique Opta, la valeur Expected Golas (xg) de cette action était de 0,96, c’est-à-dire que Cabella avait une probabilité de marquer de 96%, un taux jamais enregistré sans que ça ne finisse au fond. Vraiment ballot.
Bonus : Marc Cuvelier en kilt (Lille-Laval, 20 mai 2000)
Dernier match d’une exceptionnelle saison, tout le monde se relâche : les joueurs se sont teints en blond (Sauf Cygan et Viseux), ils s’entraînent dans le vestiaire, ils font tirer un péno à Tourenne… Et quand Lolo Peyrelade se retrouve par terre, arrive Marc Cuvelier dans un kilt du meilleur goût. Une expérience jusqu’alors non renouvelée, mais on guette.
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5 avril 2023
Permalien
Antoine a dit:
quel traumatisme le numéro 1, j’ai hurlé à m’en déchausser les dents et cassé une chaise