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Posté le 29 octobre 2020 - par dbclosc

Les deux premiers déplacements du Celtic Glasgow dans le Nord (1921, 1934)

Tournois oubliés

Si le LOSC affronte pour la première fois en compétition officielle le Celtic Glasgow en octobre 2020, le club écossais s’est déjà rendu dans le Nord à 2 reprises, pour y affronter des sélections régionales, en 1921 à Roubaix puis en 1934 à Fives.

Pourquoi donc une équipe si prestigieuse que le Celtic Glasgow va-t-elle se retrouver à deux reprises, dans les années 1920 et 1930, dans le Nord de la France pour y affronter des sélections régionales ? Il convient d’abord de revenir sur la valeur de ces confrontations à l’époque, dans un football bien différent de celui que l’on connaît de nos jours.

A la recherche de matches de prestige

Après le premier conflit mondial, dans un football national pas encore unifié en raison de la concurrence entre fédérations, et pas encore professionnel, ce qui conduit notamment à des scores de forte ampleur entre confrontations interligues ou même au sein d’une même ligue, les clubs français les plus en vue tentent d’accroître leur popularité et leur prestige par le biais de matches et de tournois internationaux. Si l’on prend le cas de l’Olympique lillois, ancêtre du LOSC, le club a été pionnier, dès l’avant-guerre, dans l’organisation de matches contre des adversaires Belges et Anglais, réputés plus forts. Il faut dire le championnat régional, hormis les confrontations contre Tourcoing ou Roubaix, n’offre guère la possibilité de rencontres de haut niveau ; dès lors, à l’heure où la lente institutionnalisation du football français n’apporte pas aux compétitions régionales un grand prestige, les matches contre des équipes étrangères constituent de beaux trophées, d’un point de vue symbolique. En outre, la création de sélections régionales participe aussi à rendre le football plus palpitant, ainsi que l’illustre la classique confrontation Paris/Nord à partir de 1904. Henri Jooris, successeur d’André Billy à l’Olympique Lillois, confirme et amplifie cette dynamique en institutionnalisant l’équipe des Lions de Flandres, sélection des meilleurs joueurs nordistes. Avant que ne survienne la guerre, l’OL et les Lions de Flandres symbolisent la domination du football nordiste en France.


Le Celtic, « la plus belle équipe du monde » à Roubaix

L’équipe des Lions de Flandres retrouve les terrains en février 1918. Amputée de quelques joueurs, morts à la guerre (pensons notamment aux Lillois Six et Carpentier), elle reprend son activité de promotion du football nordiste et dépend désormais de la Ligue du Nord et du Pas-de-Calais, créée en 1919 en lieu et place du comité régional, signe de l’unification du football national. En 1921, les Lions de Flandres vont, pour la première fois, rencontrer le Celtic Glasgow, qui fut le premier club écossais à faire des tournées en Europe, dès 1904. Champion national en 1914, 1915, 1916, 1917 et 1919, le Celtic connaît aussi de nombreuses pertes liées à la guerre. Ce 22 mai 1921, vont donc s’affronter à Roubaix, au parc Jean-Dubrulle, deux équipes relativement reléguées par le conflit mondial. Il n’empêche : le match reste un grand événement, ne serait que parce qu’il s’agit de la première visite d’une équipe professionnelle de football dans le Nord (en Écosse, la professionnalisation du football a débuté dès les années 1890). Les Écossais ont ensuite prévu quelques rencontres en région parisienne. Le Grand écho du Nord souligne ainsi que cette opposition entre professionnels écossais et amateurs nordistes est une « rencontre qui fera époque dans les Annales du Sport Nordiste : jamais nous n’avions vu de professionnels et c’est l’équipe la plus réputée qui sera dans le Nord dimanche prochain » (22 mai 1921). À l’appui de cette promesse, le quotidien régional interroge le journaliste Achille Duchenne, présenté comme un « spécialiste parisien bien connu » : « je sais que c’est la plus belle équipe du monde. De mémoire, je me rappelle de certains joueurs exceptionnellement réputés tels : Gilchrist, Cassidy, M’Lean, M’Farlane, Gallagher, qui sont des merveilles. Le mot Celtic, outre-Manche, dit tout ce qu’il y a de plus parfait en football ». Pour information, les places sont réservables chez M. Jonville, 34-36 rue de Paris, qui ne s’appelait pas encore « rue Pierre Mauroy ».

 

Panique celtique

Devant 10 000 spectateurs et un « temps superbe », les dirigeants du Celtic ont d’abord pris l’initiative de déposer « une gerbe de fleurs naturelles » au pied du monument aux morts du Racing Club de Roubaix. Voici les compositions des deux équipes :

1L’Echo du Nord, 24 mai 1921

La presse nordiste semble assez confiante avant le match. En cause, le « tournoi de l’Olympique de Paris », qui a eu lieu quelques jours avant, auquel ont participé des clubs anglais : il est souligné que si les clubs parisiens ont perdu la plupart de leurs matches, ils s’en seraient mieux tirés avec davantage de « désir de vaincre ». Autrement dit, l’écart entre footballs français et anglo-saxon serait faible, et ce serait surtout une question d’envie. Hélas : « nous devons déchanter. Le Celtic a fait montre d’une virtuosisité telle que, tout en paraissant se livrer à une simple exhibition, il n’en a pas moins percé par 5 fois la belle défense des nôtres et ce, avec une aisance qui nous stupéfia (…) Si le Celtic l’avait voulu, il eût pu doubler le score obtenu » (24 mai 1921). Le Celtic tarde à s’organiser, ce qui semble confirmer d’abord les espoirs nordistes : « le début nous donne quelque espoir » ; « le nord peut faire illusion ». Mais la machine écossaise se met en marche : le Celtic marque à la 24e par Gallagher, d’une frappe à 20 mètres ; dans la foulée, l’ailier gauche Pratt marque un but « à la Dubly », le joueur roubaisien d’en face, qui a marqué le but vainqueur des Français contre l’Angleterre 15 jours avant. Cela ne nous renseigne pas sur ce qu’est un but « à la Dubly », mais bon, ça fait une info. Juste avant la pause, les Nordistes pointent le nez mais le gardien, Shaw, « pare de justesse : la balle lui échappe des mains et passe le long de la ligne de but, mais sans la franchir (…) C’est la seule fois où nous avons frisé le but ». À la pause, les Nordistes sont menés 0-2.

Le suspense, s’il y en avait un, disparaît dès la 49e minute : Gallagher, à 18 mètres, fait 0-3. Le Celtic déroule et McInally marque les deux derniers buts de Glasgow ; sur le 5e, « il feinte, passe Parsys et pénètre tout doucement dans les filets en compagnie de la sphère de cuir ».

2

C’est implacable : « les Lions sont domptés ». L’Echo du Nord souligne notamment les performances de Gallagher et de McStay, mais salue aussi la « tenue somme toute très satisfaisante des Nordistes eu égard à la virtuosité des professionnels qui leur faisaient face ». Finalement, « à chacun son métier » conclut le quotidien, impressionné par l’avance d’un football écossais qu’il attribue à son professionnalisme.


« L’Entente Nordiste » en attendant la « Ligue du Nord »

Dans l’entre-deux-guerres, de nombreuses évolutions marquent le déclin de l’équipe des Lions des Flandres, qui disparaît progressivement dans les années 1920. Les confrontations nationales se développent dans un championnat enfin unifié ; elles s’équilibrent, gagnent en intérêt et se professionnalisent à partir de 1932 ; les affrontements interrégionaux, désormais effectifs dans un « vrai » championnat national, n’ont plus le prestige d’antan. Mais la Ligue du Nord fait perdurer l’existence d’une sélection nordiste, qui prend ses contours définitifs au milieu des années 1930 sous le nom de… « Ligue du Nord », qui rassemble les meilleurs footballeurs nordistes (comprendre : meilleurs nordistes – Français – qui jouent dans des clubs nordistes). Entre la fin des « Lions de Flandres » et l’avènement de la « Ligue du Nord » apparaît une sélection baptisée « entente nordiste » ou « entente professionnelle », sélection de footballeurs jouant dans le Nord, mais pas basée sur la nationalité.

En 1934, alors que l’équipe de la Ligue du Nord commence à multiplier les matches, apparaît donc une « entente nordiste » qui, le 27 mai, s’apprête à affronter le Celtic Glasgow, de retour dans le Nord de la France après son passage en 1921.


L’OL absent

Pour ce premier match, « l’Entente nordiste » est composée de joueurs du RC Roubaix, de l’Excelsior Roubaix, et du SC Fives. Mais pas de l’OL qui, ayant placé un match amical à Valenciennes dans le même temps, n’a pas souhaité envoyer de représentants. Cela illustre le prestige moindre de cette équipe par rapport aux « Lions de Flandres », pour qui il eût été inconcevable de refuser une sélection.

Voici la sélection :
Encontre (Racing Club de Roubaix), Cernicky (Sporting Club de Fives), Boatman (RCR), Cottenier (RCR), Eastman (SCF),Kalmar (Excelsior Athlétic Club), Liberati (SCF), Cheuva (SCF), Vancaneghem (EAC), Hiltl (EAC), Buge (EAC), Gianelloni (EAC), Payne (EAC), Tison (RCR), Sartorius (RCR).

Dès lors, ce sont les représentants des clubs nordistes en question qui accueillent la délégation écossaise en gare de Calais le 25 mai : on trouve par exemple M. Chas Boulton, président de l’Entente nordiste du Groupement spécial ; M. Henno, président du SCF, MM. Lemaire et Geillon, vice-présidents du SCF ; M. Dubar, vice président des Amis du Sporting ; ou M. Isbecque du RCR. Ils accueillent notamment M. Flemming, président de la Fédération écossaise de football ; M. Graham, secrétaire de la fédération ; le colonel Shadnessay, ex-président du Celtic ; M. White, président du Celtic ; et donc l’équipe du Celtic : la presse nordiste souligne que le Celtic compte 6 internationaux, parmi lesquels John Divers, le « joueur le plus en vue actuellement, considéré comme la grande révélation de la saison ». Tout ce petit monde arrive à 18h39 en gare de Saint-André lez-Lille, avant que des voitures particulières et des autocars ne les emmènent au grand café Bellevue où « M. Flemming remercia de l’accueil chaleureux qui était réservé et souligna que ses joueurs étaient heureux de venir à Lille faire une exhibition de propagande ».

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La revanche des « Nordistes »

Le match a lieu sur le terrain du SCF, au stade Virnot. En lever de rideau a lieu une rencontre « de sous-minimes » entre d’un côté des jeunes (14 ans) de l’Iris et de Fives, et de l’autre de l’Excelsior et du Racing. Notons que parmi les jeunes du SCF, on trouve un certain Walter De Cecco. Entre les deux matches, « la grande société « les Ecossais de l’Escaut » de Tournai, se produira et fera entendre les meilleurs morceaux de son répertoire ».

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Voici les équipes alignées :

5

ça démarre très fort puisque dès la 10e minute,Van Caeneghem, blessé, est contraint de sortir, ce qui entraîne une incompréhension : le Nord est à 10 et, pendant près de 20 minutes, le public proteste constatant qu’aucun changement n’est effectué. Oui mais voilà : « la fédération écossaise n’autorise pas le remplacement d’un homme blessé. C’est ce que tente d’annoncer un crieur public dont la voix est couverte par les clameurs d’une foule qui n’est pas précisément fascinée par le spectacle qui lui est offert ». Malgré leur infériorité numérique, les Nordistes ouvrent la marque par Hiltl qui, « d’un shoot splendide » à 15 mètres après une combinaison Liberati/Cheuva, bat Shevelin. Suite à ce but, Tison entre du côté nordiste, le manager du Celtic ayant donné son accord pour un remplacement. La mi-temps est sifflée sur ce score de 1-0. Durant l’entracte, nos amis tournaisiens, en kilt, sont rejoints par la « grande fanfare de Fives » dans une chaude ambiance : « les minutes de repos nous semblèrent ridiculement courtes » souligne Le Grand Echo.

6celtic

Dès la reprise, un corner de Cheuva est repris par Kalmar (2-0, 51e) : « la supériorité du football anglais est menacée. En y réfléchissant bien, cependant, le football britannique n’est pas si mal représenté dans la sélection des pros du Nord… ». Alors que l’on croit la sélection du Nord se diriger vers un facile succès, le Celtic revient (McDonald, 71e), puis égalise (Donel, 73e). Les Écossais poussent mais Encontre sauve son camp « avec un sang-froid que les plus téméraires hésiteraient à qualifier de chance ». Finalement, Liberati (79e, 89e) assure le succès à « l’Entente professionnelle ».

7celtic

Une belle fête

Ce match permet à l’Echo du Nord de s’attarder sur quelques considérations tactiques du football écossais : « le Celtic emploie à la perfection la méthode en « W » qui a de chauds partisans et aussi d’innombrables adversaires. Il semble que les Ecossais poussent très loin, trop loin même, le retrait des Inters, ce qui a pour conséquence d’isoler le centre-avant, dont le pouvoir d’attaque se trouve fortement diminué (les inters, à notre avis, ne comprennent bien leur rôle que s’ils soutiennent constamment le centre-avant, d’assez près, au point de pouvoir permuter rapidement, avec lui, quand les circonstances s’y prêtent (…) Au Celtic, le retrait accentué des Inters confine les demis à un rôle assez passif ». Du côté du Nord, on souligne notamment la belle prestation du gardien Encontre, qui a débuté le match par « 5 ou 6 arrêts du meilleur aloi. Par la suite, il se comporta toujours très bien et ce sont ses deux arrières – Pagne surtout – qui doivent être tenus pour responsables des deux buts qui furent marqués contre lui ».

8cektic

Après le match, comme il se doit, tout le monde est allé boire un coup, et apparemment ça n’a pas été triste. Le Grand Echo indique que, au café Bellevue, « les francs et joyeux gaillards des Highlands ont fêté le sport-roi (…) le premier toast, lancé par M. Flemming, président de la fédération écosssaise, fut porté à la santé du président Lebrun ; tout aussitôt l’on but au roi d’Angleterrre. Et alternativement, dès le dessert, on célébra dans les deux camps l’amitié franco-anglaise, tant en français qu’en anglais (…) M. Levy, adjoint au maire, représentant la ville, fit, entre le rumsteack et le poulet, un éloge sensible des visiteurs qui leur fut traduit et provoqua de joyeuses réactions chez les Johnie, Jimmie and all others de l’assistance (…) M. J-K Dible, consul d’Angleterre, conta avec humour de délicieuses histoires écossaises (…) puis ce furent les chansons, les vieilles mélodies écossaises, et les refrains modernes furent repris en choeur par de vigoureux jeunes gens qui pratiquent le fair-play aussi bien à table que sur les terrains de jeu ».

Le football du Nord aux Nordistes

La victoire du Nord permet au quotidien régional de souligner les progrès du football nordiste, même si un doute subsiste sur ce que désigne « football nordiste » : faut-il considérer comme tel le football pratiqué dans le Nord, ou le football pratiqué par les Nordistes ? Et pourquoi ceux-ci ne seraient-ils pas les mêmes que ceux-là ? En intégrant des étrangers évoluant à Roubaix et à Fives, c’est comme si cette « Entente » ne permettait pas d’évaluer pleinement la valeur d’un football qu’on souhaiterait pratiqué par des Nordistes : « l’écart entre les meilleurs professionnels du Continent et les nôtres a sensiblement diminué. Il est même comblé lorsque nous incorporons dans une sélection dite régionale cinquante pour cent d’étrangers de très grande classe ». Le quotidien est encore plus clair quand il conclut : « terminons par des regrets : il n’y avait que 5 joueurs français dans l’équipe de l’Entente ». C’est précisément l’équipe de la Ligue du Nord qui, renouant avec la tradition des « Lions de Flandres » (exception faite du Belge Alphonse Six avant-guerre), s’emploiera à limiter les sélections d’étrangers, tout en s’ouvrant à d’autres clubs que ceux de la métropole lilloise (arrivent ainsi des Lensois, Valenciennois, et Raismois). Et, dès 1935, cette sélection affronte à Lille une autre équipe de Glasgow. Nous y reviendrons très prochainement.

Cet article a été posté le Jeudi 29 octobre 2020 at 10 h 02 min et est rangé sous Tournois oubliés. Vous pouvez suivre toutes les réponses à cet article à travers le RSS 2.0 Flux. Vous pouvez Laisser une réponse, ou rétrolien de votre propre site.

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