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Posté le 3 décembre 2021 - par dbclosc

Coupe Drago 1960 : le LOSC éliminé au nombre de corners

Complot contre le LOSC Tournois oubliés

Coupe Drago 1960 : déjouant les pronostics, le LOSC, alors en D2, égalise à trois reprises sur le terrain de son rival lensois, pensionnaire de l’élite. La prolongation s’achève sur le score de 3-3. C’en est trop pour les forces du complot, qui abattent une de leurs cartes les plus mesquines : le gagnant est désigné au nombre de corners obtenus. Lille est éliminé.

S’il y a bien un trophée que possède le Racing Club de Lens et pas le LOSC, c’est la coupe Drago. Cela tombe bien : c’est celui que personne n’envie. Sorte de compétition de rattrapage, la coupe Drago, entre 1953 et 1965, mettait aux prises les équipes professionnelles éliminées avant les quarts de finale de coupe de France. Il est dès lors très peu étonnant que Lens ait remporté à 3 reprises ce trophée de la lose (1959, 1960, 1965), tout en atteignant la finale une autre fois (1957). Le LOSC, de son côté, est parvenu en finale à deux reprises : d’abord en 1954, saison de titre, avec une défaite contre Reims (3-6) ; puis en 1956, saison de descente à laquelle la coupe Drago, boulet de fin de saison, n’est probablement pas complètement étrangère (défaite contre Nîmes 1-3).


Lens favori

L’une des éditions qui a vu le RCL triompher mérite que l’on s’y arrête de plus près : c’est millésime 1960, disputé de février à juin. Il s’agit de la seule édition où le LOSC et le RCL se sont affrontés dans cette compétition. Lens entre en lice dès le deuxième tour de la coupe Drago, fin février, après avoir été éliminé en 16e de finale de coupe de France par Forbach (D2, 1-4). Lille, de son côté, arrive un peu plus tard, après son élimination des quarts de finale de coupe de France par Saint-Etienne (1-3). Ainsi, pendant que Lille avançait en coupe de France (victoire en 16e contre Toulon, puis en 8e contre Gardanne), Lens se consolait déjà dans l’autre coupe, avec un tour supplémentaire (victoires contre Rouen, Valenciennes et le Stade Français).

Lensois et Lillois se retrouvent ainsi le 24 avril pour les quarts de finale de la coupe Drago.

Lens fait donc partie des quatre survivants des tours précédents de la compétition ; et Lille y débarque, avec trois autres, au titre de récent éliminé de la coupe de France. Comme à chaque tour précédent, le tirage au sort permet à Lens de recevoir : comme par hasard !

WalzakStéphane Walczak

Lens, entraîné par Jules Bigot, est alors en D1, dans le premiers tiers du classement, sans pouvoir espérer atteindre les toutes premières places. La coupe Charles-Drago constitue ainsi le principal objectif de fin de saison pour les Sang & Or, d’autant plus qu’ils en sont les tenants.

Le LOSC, de son côté, après être remonté en 1957, est de nouveau en D2 depuis 1959. Au cours d’un championnat sans saveur, le club est dans le ventre mou. Au lendemain de l’élimination à Saint-Etienne, la Voix du Nord note que « la coupe de France a effacé en partie la mauvaise saison du LOSC. N’empêche que, tout bien pesé, les jours gris ont été plus nombreux que les jours roses » (6 avril). Il semble qu’on attende tranquillement la saison prochaine pour repartir sur de meilleures bases et construire un effectif de meilleure qualité, en s’appuyant sur les jeunes, finalistes de la coupe Gambardella 1960. Cela pourrait se faire aussi grâce à la valeur marchande de François Heutte, désormais international, toujours sous contrat avec le LOSC, et prêté cette saison au RC Paris.

Quant à la coupe Drago, vue de Lille, elle ne suscite guère d’espoirs : vaincre Lens, sur son terrain, semble constituer un obstacle insurmontable.

zampaFélicitations à Enzo Zamparini, qui s’est marié mardi 19 avril. La Voix du Nord précise que « après la cérémonie religieuse, les joueurs du LOSC rendirent les « honneurs sportifs » à leur sympathique coéquipier et à sa charmante épouse ».

C’est au moment où l’on croit les Lillois en roue libre qu’ils écrasent Montpellier, candidat à la D1 (et qui finira champion de D2), 5-1. Dans la Voix du Nord, le journaliste Jean Chantry salue les performances de Walczak, de Gardien et de Jacky Montagne, longtemps blessé, qui, durant la saison « auraient pu apporter quelques points supplémentaires. Des regrets : il ne reste que cela… » (19 avril). Il n’empêche : une telle démonstration (« un jeu de massacre » pour la VDN) peut-elle faire naître quelques espoirs pour le derby… ?

DragoLens
« À première vue, les Lillois ne seront pas favoris » précise la Voix du Nord, lucide. D’autant que les Lensois, qui ont sorti le Stade Français quatre jours avant sont « en très nette amélioration », notamment grâce au retour en forme de Wisniewski, tandis que Stievenard, repositionné en « avant itinérant » est désormais « plus dynamique et organisateur ». Lens reste toutefois privé de sa « machine à shooter » : Ahmed Oudjani, qui a connu deux claquages en deux mois. En face, « certes, la défense de Lille est correcte (…) Mais il y a davantage de style, de richesse à Lens. C’est surtout l’allure générale de l’équipe qui est plus rapide ».


Lille a bonne mine

Le dimanche 24 avril à 20h30, les deux équipes se présentent au stade Bollaert devant 7 164 spectateurs, ce qui dans la moyenne de la saison des Lensois (7 123), mais bien loin des meilleures affluences1 (16 000 contre le Racing de Paris, 15 000 contre Reims). Voici les compositions annoncées :

DragoLens1

Au dernier moment, Walczak doit céder sa place. Dès lors, Novotarski joue ailier gauche, et Clauws prend la place de demi-droit. Et du côté lensois, Lafranceschina se claque lors de l’échauffement ; il est remplacé par Carlier.

Le match est rapidement marqué par deux blessures : d’abord, celle du Lensois Stievenard, dès les premières minutes. Comme les remplacements ne sont pas autorisés, il reste sur le terrain mais « il ne fut plus que d’une utilité toute relative pour son équipe » (La Voix des Sports, 25 avril). Mais cet avantage pour le LOSC est vite compensé par la blessure au tibia, à la 25e minute, de Jaclin qui, lui, sort, avant de revenir juste après la pause au poste d’ailier gauche. Les Dogues ont ainsi joué durant 20 minutes à 11 contre 10 lensois + un éclopé, puis durant 20 minutes à 10 contre 10 lensois + un éclopé, puis la suite du match à 10 + 1 contre 10 + 1.

« On pouvait penser que les Sang et Or ne feraient qu’une bouchée des petits Lillois. Mais ceux-ci, piqués par on ne sait quelle mouche, fournirent un match excellent, jouèrent aussi vite que leurs adversaires, et leur donnèrent beaucoup de soucis » (La Voix du Nord, 26 avril). Si le jeu des Lensois paraît globalement « plus cohérent » et « plus étudié » (La Voix des Sports, 25 avril), les Dogues sont bien organisés en défense et jouent la contre-attaque avec « une mobilité dont on ne les soupçonnait pas capables ». Si les Lensois ont une bonne maîtrise du jeu grâce aux initiatives de Kominek, ils se heurtent à une défense lilloise solide de laquelle émerge Debelleix.

Juste avant pause, les locaux marquent par Carlier (42e). Et peu après la reprise, les Lillois qui « attaquent crânement » égalisent par Fatoux (52e). « Le match se poursuivit alors avec des initiatives diverses mais toujours très passionnantes à suivre » : sur l’une d’elles, Lens reprend l’avantage grâce à Kominek, profitant d’une ouverture de Wisniewski (2-1, 63e). Mais le LOSC ne se décourage pas, Fatoux semblant souvent proche d’égaliser. C’est ce qu’il parvient à faire, dans la confusion, à la 71e, après un centre de Montagne relâché par Pagès. Le public lensois conteste l’égalisation « car le juge de touche n’avait pas, semble-t-il, signalé la sortie du ballon » (La Voix des Sports, 25 avril). Le lendemain, c’est plus clair : la Voix du Nord révèle que Fatoux, qui l’a d’ailleurs lui-même reconnu, s’est aidé de la main.

Après 90 minutes, le score est de 2-2 : il faut recourir à une prolongation.

DragoLens4

Un règlement en forme de mauvais coup (de coin)

C’est ici qu’un détour par le règlement s’impose. Au cours de ses douze années d’existence, la Coupe Drago a connu des formules diverses, qu’il s’agisse des conditions pour y accéder (ainsi, cette édition en 1960 est la première pour laquelle des clubs éliminés en quarts de finale de coupe de France – c’est d’ailleurs pour cette raison que le LOSC est là) et, pour ce qui nous intéresse ici, des modalités de départage des équipes en cas d’égalité après prolongation.

De nos jours, nous sommes habitués à ce que deux équipes doivent se départager après une séance de tirs au buts, une pratique qui ne s’est développée qu’au cours des années 1970. Mais à l’époque, à l’instar de ce qui se joue en coupe de France, on est plutôt adepte du match à rejouer. Mais ce n’est même pas la règle choisie dans cette compétition, hormis pour les éditions 1956, 1957 et 1958.

Lors de sa création, le règlement de la coupe Drago prévoit qu’en cas d’égalité entre deux équipes, c’est l’équipe qui joue à l’extérieur qui se qualifie.

En 1955, cette règle persiste avec une modification : si les deux équipes ne jouent pas dans la même division, c’est celle qui est hiérarchiquement inférieure qui est qualifiée.

En 1956, on l’a évoqué, le match est désormais rejoué.

Puis, à partir de 1959 et jusqu’à l’arrêt de cette compétition, on oublie le domicile/extérieur et la hiérarchie entre clubs : c’est le nombre de corners obtenus qui permet de déterminer le vainqueur. Et si le nombre de corners obtenus est le même, on tire au sort.

À ce petit jeu, Béziers et Roubaix-Tourcoing sont pionniers : lors de l’édition de 1959, Béziers (D2) et Nice (D1) font match nul 2-2, et tous les deux ont obtenus 5 corners… Béziers passe au tirage au sort. Le même jour, le CORT (D2) et Alès ne parviennent pas à se départager au nombre de buts (0-0), mais les locaux ont écrasé leurs visiteurs 6-0 au nombre de corners.

FatouxRené Fatoux au stade Henri-Jooris lors du match LOSC/Montpellier

Revenons à notre Lens/Lille de 1960. Pas de chance pour le LOSC, des formules précédemment utilisées et qui lui auraient été favorables ici en cas d’égalité (victoire de l’équipe visiteuse, ou victoire du « petit ») ne seront pas appliquées : depuis l’année précédente, la règle des corners prévaut. Si le LOSC doit passer, il faudra donc qu’il marque au moins un but de plus que Lens ou que, en cas d’égalité, il ait obtenu davantage de corners sur l’ensemble du match.

Selon la Voix du Nord, la prolongation est « passionnante ». Si les Lensois restent « meilleurs techniciens », ils se heurtent toujours à une belle défense des Lillois. À la 115e, Debelleix bouscule fautivement Polonia. Le coup-franc, bien placé, est transformé par Harabaz (3-2). on pense alors que le score est définitivement acquis mais, à la dernière minute, une ultime percée de Fatoux permet à l’attaquant lillois de signer un triplé (3-3, 120e).

Il faut donc regarder le nombre de corners : 13 pour Lens, 5 pour Lille. Lens est qualifié pour les demi-finales.

drago6

drago7
Au-delà de ce match somme toute négligeable dans l’histoire des deux clubs, le règlement de la coupe Drago pointe une bonne question : y a t-il une modalité plus légitime qu’une autre pour départager deux équipes en cas d’égalité ? Si les tirs aux buts se sont généralisés, ils restent parfois désignés comme étant une « loterie » (ce avec quoi nous ne sommes pas d’accord, considérant qu’il s’agit de la réalisation d’une technique qui se travaille, que l’on soit gardien ou tireur, et sur laquelle on peut donc influer) et peuvent finalement offrir la victoire à une équipe qui n’aurait pas particulièrement brillé par ses initiatives offensives.
Les réflexions sur les évolutions des règles ont parfois mis en avant la possibilité d’autres critères de départage (pourcentage de possession, nombre de tirs) mais sur lesquels on semble pouvoir facilement agir sans que cela ne reflète là aussi de plus grandes ambitions offensives ou une grande maîtrise. Et si le nombre de corners reflétait le mérite supérieur d’une équipe ? Selon la Voix des Sports, après ce RCL/LOSC, la victoire des Lensois au nombre de corners « traduit bien la physionomie de la partie et leur évidente supériorité technique et même territoriale ». On comprend par là que la victoire de Lens serait méritée. À l’inverse, ne peut-on pas considérer que la performance des Dogues, évoluant dans une division inférieure, et dont les articles de la presse régionale saluent les qualités de défense et de contre-attaque, soit tout autant méritoire ? Elle illustre en tout cas un jeu moins offensif, allant à contre-courant des évolutions souhaitées du football : plus spectaculaire, la spectacularité étant bien souvent mesurée à l’aune des buts marqués et des situations offensives générées2. Quid alors des « pragmatiques », de ceux qui choisissent de subir, ou de jouer la contre-attaque et qui, par philosophie ou par contrainte sur les caractéristiques de leur effectif, n’en sont pas moins des artisans du football, ou des artisans moins légitimes ? Et après tout, cette règle n’est-elle pas injuste ? Si on peut imaginer qu’un « petit » parvienne à faire match nul avec une équipe de division supérieure, les probabilités de maintenir cette égalité sur quelques statistiques sont a priori moindres et donc, forcément, la règle légitime le rapport de forces au bénéfice du plus fort, avec la force invisible de la loi, et sous les applaudissements de tout le monde.

Le choix de cette règle, finalement, ne résout rien, sans apporter de problème superflu : il valorise un aspect plus qu’un autre3. En valoriser un autre ne serait ni plus, ni moins légitime. On peut imaginer que la réintroduction de cette règle inciterait à une « extension » du jeu, dans le sens où des équipes chercheraient peut-être à davantage passer par les côtés, en vue d’obtenir des corners, à défaut de buts. Les qualités de vitesse, de dribbles et de qualité de centre seraient alors largement valorisées. Corollairement, on aurait une perte relative de la valeur du travail des meneurs axiaux.

Bref, comme en politique avec ce que permet ou favorise une Constitution, il importe de souligner que les règles du jeu influent sur le jeu lui-même, et qu’elles sont toujours modifiables, selon ce que l’on souhaite valoriser à un moment. Et l’appréciation de ses conséquences est toujours variable et contingente, et ne fera jamais l’unanimité.


Notes :

1 C’est d’ailleurs le manque d’intérêt du public qui justifiera l’arrêt de la coupe Drago quelques années plus tard. En 1960, la finale de la coupe Drago attire 4 000 personnes, contre 38 200 pour la finale de la coupe de France.

2 Le jeu dit « défensif » est ainsi souvent stigmatisé, et la plupart des changements dans les lois du jeu ou au niveau réglementaire visent à favoriser l’offensive ou la vitesse du jeu. Ainsi, en France, en 1968, un point de « bonus offensif » est accordé aux équipes qui inscrivent au moins 3 buts dans un match.

3 Interrogé sur le site Lucarne Opposée, à propos de questions proches de celles soulevées par cet article sur le football en Tunisie, Christophe Kuchly, co-auteur d’ouvrages tels que L’Odyssée du 10 et Comment regarder un match de foot ? (Éditions Solar), indique : « Il n’y a aucune solution vraiment pertinente [entre corners, frappes ou possession comme critère de départage] parce que la plupart de ces statistiques sont le reflet d’un parti pris dans le jeu plutôt que d’une domination dans le jeu. Dans l’absolu, on peut considérer que prendre le nombre de corners est un peu plus logique parce qu’aucune équipe ne va aborder un match avec l’idée d’en obtenir beaucoup, là où certaines vont vouloir avoir le ballon pour construire ou insister sur les tirs lointains s’ils ont de bons artilleurs. Et, au moins, on ne peut pas augmenter artificiellement leur total, là où on pourrait tirer de cinquante mètres ou faire une passe à dix avec le gardien. Mais ça ne reflète pas vraiment la domination d’une équipe dans le sens où les équipes qui vont déborder et centrer pourront en obtenir facilement si leurs tentatives sont contrées, alors que celles qui attaquent par l’axe auront généralement besoin d’une intervention du gardien ».

Cet article a été posté le Vendredi 3 décembre 2021 at 8 h 41 min et est rangé sous Complot contre le LOSC, Tournois oubliés. Vous pouvez suivre toutes les réponses à cet article à travers le RSS 2.0 Flux. Vous pouvez Laisser une réponse, ou rétrolien de votre propre site.

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