• Home
  • Bédés sur le complot contre le LOSC
  • Documents confidentiels sur le LOSC
  • Drogue, bière & complot contre le LOSC
  • Live, potins et rumeurs infondées
S'abonner: Articles | Commentaires | E-mail
  • Classements oubliésCes classements oubliés, ringards, ou inventés par mes soins à partir de la réalité.
  • Complot contre le LOSCCar le foot est un sport qui se joue à 11, et à la fin, il y a un complot contre le LOSC.
  • Derbys du NordCar rien ne vaut plus qu'un Lille-Lens, si ce n'est un Lille-Lens gagné 4-0.
  • Donne-nous des nouvelles ...sinon, on va inventer des interviews bidons sur toi.
  • Elucubrations vaguement intellectualiséesParce qu'on est cons, mais qu'on voudrait que ça se voit pas trop
  • Féminines
  • le LOSC est grand, le LOSC est beau
  • Tournois oubliésHommage aux petits tournois, du Challenge Emile Olivier au tournoi de Pérenchies
Drogue, bière & complot contre le LOSC Drogue, bière & complot contre le LOSC Le foot est un sport qui se joue à 11, et à la fin il y a un complot qui empêche le LOSC de gagner
Posté le 9 juin 2022 - par dbclosc

LOSC-ESW (2/6) : L’impuissance lilloise

Derbys du Nord

Derby 2 : Après avoir dilapidé l’avance de 6 points qu’il avait sur Sochaux, le LOSC vit une fin d’hiver difficile et se retrouve quatrième avant de recevoir son voisin. L’inconstance de l’équipe agace un public qui gronde de plus en plus. Le derby ne lève aucun doute sur les capacités des Dogues à retrouver la D1.

Depuis le derby d’octobre 1997, joué au moment où le LOSC traversait une crise de résultats (le 1-1 de l’aller est le 5e match consécutif sans victoire), les hommes de Thierry Froger ont en partie rectifié le tir, puisqu’une première série de 3 victoires après le match du Stadium les a positionnés à la 3e place, une place qu’ils n’ont quittée que très ponctuellement depuis. Mieux : début février, le LOSC, 3e, a même 6 points d’avance sur le 4e, Sochaux, et se montre capable, en janvier, de battre le leader, Lorient (1-0), et d’aller chercher un point chez le deuxième, Nancy, en février (1-1). Lille perd peu (seulement 4 défaites après 29 journées), mais perd de façon étonnante, comme chez le dernier, Toulon, en novembre (0-1), ou à Gueugnon en janvier, avec un gros écart (0-4). Ces défaites passent encore début février pour des accidents : globalement, même si le jeu du LOSC ne convainc pas, même si les Dogues marquent trop peu de points à l’extérieur, l’équipe montre une certaine solidité et est quasiment intraitable à domicile. Si tout va bien, ça devrait donc passer. Mais Lille a la mauvaise idée de perdre deux fois consécutivement à domicile (face à Amiens ; puis face à Troyes, 0-2). Que Lille ne joue pas bien mais que les résultats soient là, passe encore ; mais si, désormais, Lille n’avance plus, les espoirs de montée seront bien vite envolés. Face à Troyes, devant la piteuse prestation des Dogues, une partie du public envahit le terrain et réclame la tête de Thierry Froger.

Supp2

Puis Lille s’incline de nouveau, à Valence (1-3). En 6 semaines, le LOSC a perdu autant qu’en 6 mois, et Sochaux est passé devant : que se passe-t-il ? Lille a pris 10 points (sur 24) depuis la reprise en janvier, contre 12 pour Wasquehal. Et le LOSC n’a pris qu’un point sur les quatre derniers matches ! La Voix des Sports pointe « un sentiment d’impuissance ». C’est dans ce contexte qu’arrive le derby retour entre Lille et Wasquehal. Ainsi, comme à l’aller, l’opposition arrive au moment où Lille doute, avec un « parfum très particulier. Assez malodorant… »

risques


Thierry Froger sur la selette

Lors de son arrivée à Lille, Thierry Froger disposait d’un délai de deux ans pour faire remonter le LOSC. Seulement, les circonstances ont fait que, depuis quelques mois, le délai a été ramené clairement à un an. D’abord parce qu’on ne comprendrait pas qu’une équipe qui passe l’essentiel de la saison sur le podium ne monte pas ; et parce que le jeu proposé et les tergiversations manifestes de l’entraîneur ne pourront être supportées une deuxième saison, surtout si elles se révèlent inefficaces. Jusque là souhait de la frange la plus radicale des supporters lillois, l’éviction de Froger est désormais clairement posée dans la presse, et on peut supposer que c’est Bernard Lecomte l’envisage aussi, si jamais Lille ne battait pas son voisin. Le président n’en serait pas à son coup d’essai, après Jean Fernandez et Jean-Michel Cavalli ; seulement, il se discréditerait, après s’être montré tant séduit par le profil de son entraîneur au printemps dernier.

Thierry Froger avait été choisi pour sa connaissance de la D2 et de ses exigences, en termes de concentration d’impact physique notamment. Or, c’est précisément sur ces points que le bât blesse. Après la défaite dans la Drôme, Patrick Collot pointe : « le premier but, c’est lamentable. On n’arrête pas de se répéter ce qu’il faut faire en pareil cas. Et on se fait surprendre ». Et sur le deuxième but marqué par Sorlin, plus prompt, la Voix des Sports rappelle que « savoir s’arracher c’est un art. Et en division 2, c’est un devoir. Les Lillois ne l’ont toujours pas compris ». Si l’on ajoute à cela la déroute à Gueugnon indigne d’un prétendant à la montée, et deux piteuses éliminations en coupe (à Toulon et à Boulogne-sur-mer…), on comprend que la patience dont Froger a jusque là bénéficié atteint ses limites.


Un club assaini, mais des joueurs fragiles

Le 10 mars, la Voix du Nord publie un entretien avec Bernard Lecomte, qui débute par « je suis très en colère » puis, à mesure que l’entretien avance, « j’explose, je n’en peux plus, je dors mal, j’ai la rage » : « pardonnez moi si je suis trivial, mais c’est dommage, dans la dernière ligne droite du championnat, de faire des conneries pareilles ». À vrai dire, on s’interroge sur la motivation réelle de certains joueurs, et Lecomte ne comprend pas que la perspective d’une montée, que tant de joueurs aimeraient avoir sur leur carte de visite, ne suffise pas à exciter ses joueurs, qu’il a décidé de rencontrer, ainsi que son entraîneur, avant le match contre Wasquehal : « il ne faut pas jouer à Forrest Gump et vouloir être partout. Pour retrouver de la sérénité et du sang-froid, il s’agit de se battre ensemble, et non pas que chacun fasse son numéro. Ils ont la tactique et, sans être des phénomènes, ils ont la capacité de jouer collectivement (…) Ils ont la trouille, c’est clair. J’interviens rarement dans la vie de l’équipe. Quand je le fais, c’est qu’il y a urgence. Il est clair que ces garçons sont fragiles. Il ne faut pas les lâcher d’une semelle. J’ai donc demandé à Thierry Froger d’être plus directif avec les joueurs, plus interventionniste dans les matches. Il faut qu’il agisse de manière différente, les joueurs n’ayant pas suffisamment de maturité. Nous sommes confrontés, avec nos joueurs, à un problème de densité de personne ».

Lecomte est d’autant plus agacé et frustré que lui a fait sa part. Dans quelques semaines, il présentera à la DNCG le résultat de 4 ans de travail : le LOSC n’a plus de dettes. Alors au moment où ce que le LOSC a traîné comme un boulet pendant des années disparaît, le président aimerait sans doute que ne lui soit pas immédiatement substitué un problème qui n’a pas lieu d’être à ce niveau, avec la qualité de cet effectif, renforcé au mercato avec le Belge Van Der Heyden. Mais la Voix évoque un effectif « disloqué », des « faiblesses morales ». Sont particulièrement ciblés : Carrez et Dindeleux qui « n’assument pas leurs responsabilités », Leclercq et Duncker « pas au niveau », et Boutoille « transparent », « à force de jouer avec le feu, il va se bruler les ailes ».

réveil

Après les incidents de Lille-Troyes, Lecomte veut encore croire que la majorité du public soutient son équipe. Mais, en cas de défaite face à Wasquehal, il craint une nouvelle réaction hostile, au moment où le LOSC est sous le coup d’une suspension de terrain avec sursis. Il faut donc gagner, sans quoi les chances de monter seraient très largement hypothéquées : « c’est le dernier appel au peuple… » lance le président, comme proche de la résignation. On lit dans la Voix du Nord : « financièrement, les choses sont rentrées dans l’ordre. Sportivement, ce serait encore et toujours la valse-hésitation ». Pire, une défaite pourrait même marquer « le début d’une nouvelle donne sur la métropole ». On l’a donc bien compris : « le bilan des Lillois, à l’aube du printemps, est affligeant » et « Lillois et Wasquehaliens s’entredéchireront gaiement dans un match dont les enjeux n’échappent à personne ».


Mise au vert

Début de réaction ou nouveau symptôme d’une navigation à vue, Thierry Froger a scindé son groupe en deux depuis quelques jours. Son effectif est bien trop large, et la rotation qu’il a eu l’habitude de mettre en place semble avoir davantage perturbé les joueurs qu’avoir apporté une régénération régulière du groupe. Il préfère donc travailler avec un groupe restreint : exit, pour l’instant, Banjac, Garcia, Landrin, Anselin, Coquelet, Leclercq, Coulibaly, Sanz et Raguel. La Voix du Nord considère déjà que le groupe est en fin de cycle et que « le salut passera par une refonte générale de l’effectif ». La semaine d’entraînement d’avant derby, au vert à Mont-Saint-Aubert à 99 mètres d’altitude, se fait dans une ambiance sereine : le mardi, Aubry, excédé par on ne sait quoi, quitte prématurément l’entraînement.

Thierry Froger refuse de parler d’« opération commando » mais de « nécessité d’une plus grande concentration avant d’aborder le rendez-vous capital contre Wasquehal » : c’est beau comme de la novlangue managériale. Le LOSC profite des installations de l’US Tournai pour aborder un virage important : « un nul n’arrangerait personne. Une défaite ? Il faudrait en tirer les conséquences… » estime Lecomte.


Salutations réciproques

Pour l’entraîneur de l’ESW, Michel Docquiert, la mise au vert du LOSC est la preuve que les Dogues préparent le match avec sérieux : « cela m’impressionne plutôt. C’est bien la preuve qu’ils nous respectent énormément ». Docquiert affirme qu’il y a « beaucoup de respect de part et d’autre », salue le « courage des supporters lillois sous la pluie » lors du match aller. On se respecte, on s’encourage, on s’admire : l’ambiance est à l’estime de part et d’autre. Michel Docquiert rappelle d’ailleurs : « pour moi, quand j’étais adolescent, Lille était le grand club de référence. Jouer à Grimonprez-Jooris me procure le même genre d’émotion que d’être à Geoffroy-Guichard ! Et puis on peut les remercier… Grâce au derby, on parle un peu plus de nous… ». Les joueurs de l’ESW aussi affirment la supériorité lilloise, comme Hervé Leroy : « Wasquehal a toute sa place en D2. La place de Lille est d’être un grand club européen, représentant de toute la métropole en D1 » ; ou Jean Antunès, spectateur à Grimonprez quand il était enfant : « la métropole doit avoir un club-phare. Lille, en l’occurrence ». Thierry Froger, un peu maladroitement, affirme : « ça me plairait d’avoir une équipe comme Wasquehal à entraîner. Elle a un mental extraordinaire ».

Le match est donc l’occasion de rappeler la proximité entre certains membres des deux clubs : par exemple, le directeur sporitf du LOSC, Pierre Dréossi, tout comme ses frères Eric et Marc, mais aussi son père, sont passés par l’Entente. On comprend dès lors qu’il ne peut pas y avoir de rivalité au-delà de celle, très feutrée, du temps du match. Le LOSC a d’ailleurs offert un billet à tous les jeunes de l’Entente, un geste très apprécié à Wasquehal.

Bien entendu, on comprend aussi que le concert de louanges que les Wasquehaliens adressent aux Lillois est le moyen de se dégager de toute pression. Puisque c’est presque David contre Goliath, aucune raison d’envisager autre chose que la normalité du rapport de forces : « un nul serait un exploit. Une victoire nous permettrait de faire la fête pendant 3 jours. Une défaite ? Nous aurions 10 jours pour préparer la venue du Mans » lance Docquiert.

Froger Docquiert

Pour Patrick Collot, « ce sera le match le plus difficile de l’année » ; « on doit retrouver nos bases, notre collectif » assure Froger. Juste avant l’entrée des joueurs, une supportrice du LOSC et un supporter de l’Entente, chacun.e avec drapeau aux cloueurs de leur club, font un tour de stade.

À leur entrée, les joueurs sont accompagnés de jeunes des deux équipes.

Voici les deux compositions d’équipe et leur évolution, devant 11 125 spectateurs payants :

Lille :
Aubry ; Duncker, Carrez, Dindeleux, Cygan ; Hitoto (Senoussi 77e), Collot (cap., Renou 62e), Van Der Heyden ; Peyrelade, Boutoille (Machado 78e), Lobé.

Wasquehal, sans Leroy (cuisse), T. Cygan (appendicite) et Clément-Demange :
Sibille ; Cissokho, Scrimenti, Benon, Asensio ; Antunès, Debaets (cap.), Rohart, Bonadei, Cadiou ; Loko (Allais, 82e).

Collot

L’entame est timide, des deux côtés. Un une-deux entre Lobé-Duncker permet à Boutoille de se retrouver en bonne position, mais l’attaquant lillois est contré (11e). Sur la relance, la première percée de l’ESW est la bonne : Asencio lance bonadeï sur la gauche, dont le centre au premier poteau est repris par Loko (0-1, 13e). une partie du public lillois gronde… l’autre encourage son équipe. Sur la pelouse, les Dogues réagissent plutôt bien, avec Boutoille qui bute sur Sibille, puis une faute de Sibille sur le même Boutoille. Cette fois, c’est pénalty et, contrairement à l’aller, Lobé transforme (1-1, 21e).

Collectif

La première période est assez ouverte : un coup-franc de Van Der Heyden passe près de la lucarne (27e). Wasquehal, tranquillement positionné, place quelques contres : sur l’un deux, Debaets, seul, tire sur Jean-Marie Aubry (37e). Juste avant la pause, Lobé échoue devant Sibille (43e).

Duncker

La seconde période est plus fermée. Lobé, encore, ne peut conclure (59e), puis Van Der Heyden envoie un missile de 30 mètres que Sibille regarde filer… au ras de sa lucarne (61e). L’entrée de Renou perturbe un temps l’arrière-garde de l’Entente : Renou sert Lobé qui manque encore (67e). Dans la minute suivante, Aubry sauve devant Loko (68e). En fin d ematch, malgré l’activité de Renou et de Lobé, Lille ne parvient pas à inscrire un deuxième but. Comme à l’aller, les deux équipes se séparent sur le score de 1-1.

Jean-Marie Aubry, dont on sait que les relations avec Froger ne sont pas au beau fixe, est particulièrement excité à la fin du match, tandis que résonnent quelques « Froger, démission ! ». Michel Docquiert doit le calmer, suivi de près par Lionel Jospin, qui s’apprête à faire un beau score avec la gauche plurielle.

Aubry

Match nul à domicile contre le 16e du classement : c’est une nouvelle déception pour le LOSC, qui ne gagne plus depuis 5 matches et semble toujours aussi peu capable de prendre le jeu à son compte. Pour la Voix du Nord, on a vu des « Lillois égaux à l’image qu’ils donnent d’eux-mêmes à l’heure actuelle », un « manque flagrant d’inspiration offensive », une « insuffisance de créativité ». Encore une fois, face à une équipe qui s’est contenté d’être appliquée et d’espérer quelques contres, Lille perd des points. Voilà qui ne permet pas de réconcilier le LOSC et son public qui, bien après le coup de sifflet final, lançait des « Mouillez le maillot ! ». Thierry Froger : « je suis déçu pour mes joueurs. Tout au long de cette semaine difficile et pesante, la plus dure que j’ai eue à vivre depuis que je suis entraîneur, mes garçons s’étaient beaucoup investis. Le travail n’a pas été récompensé »

Top LOSC

Du côté de l’ESW, nouvelle satisfaction : l’Entente est invaincue dans sa double confrontation avec le LOSC, « presque un crime de lèse-majesté » selon la Voix. Qui aurait cru que Wasquehal ferait perdre 4 points au LOSC ? Pour Docquiert, « c’est un exploit. C’est vrai que nous avons été dominés territorialement. Mais ce point, c’est celui du courage, de la volonté, et il ne doit rien à personne. Le seul but que nous encaissons, c’est un pénalty. Nous marquons sur une action de jeu construite. Le résultat n’est pas usurpé et montre les progrès qu’on a faits ».

Top ESW

En dépit de cette contre-performance, Lille retrouve la troisième place, à la différence de buts, puisque que Sochaux a perdu à domicile contre Nancy. Ainsi, curieusement, et chanceusement, les Lillois peuvent se permettre un gros passage à vide et être toujours dans le coup. Il reste 8 journées, et le LOSC va enchaîner avec deux victoires, reprenant 6 points d’avance sur Sochaux au soir de la 36e journée (sur 42) ! On connaît la suite… Le LOSC n’aurait eu besoin que d’un seul des 4 points perdus contre son voisin pour remonter dès 1998.

 

Les citations et illustrations sont tirées de La Voix du Nord et La Voix des Sports.

La série complète :

Lille/Wasquehal, nouveau derby professionnel

1/6 ESW-LOSC (1-1, 8 octobre 1997) : Le LOSC gâche déjà

2/6 LOSC-ESW (1-1, 14 mars 1998) : L’impuissance lilloise

3/6 ESW-LOSC (0-1, 29 août 1998) Un poing puis trois points

4/6 LOSC-ESW (1-1, 12 décembre 1998) : Toujours les mêmes travers

5/6 LOSC-ESW (1-0, 7 septembre 1999) : Le LOSC inarrêtable

6/6 ESW-LOSC (2-1, 5 février 2000) : Wasquehal inscrit son nom au palmarès

Bilan : LOSC/Wasquehal, le derby oublié de l’histoire ?

Cet article a été posté le Jeudi 9 juin 2022 at 8 h 50 min et est rangé sous Derbys du Nord. Vous pouvez suivre toutes les réponses à cet article à travers le RSS 2.0 Flux. Vous pouvez Laisser une réponse, ou rétrolien de votre propre site.

0 commentaire

Nous aimerions connaître la vôtre!



Laisser un commentaire


Vous pouvez vous exprimer.

Cliquez ici pour annuler la réponse.

  1. Nom (obligatoire)

    E-mail (obligatoire)

    Message

  • Recherchez aussi :

    • - vahid halilhodžić dijana halilhodžić
    • - emilie poyard point
    • - matt moussilou
    • - amis du losc
    • - george kasperczak
  • Articles récents

    • Tableau noir : l’Olympique Lillois 1932/1933
    • 1998 : à la poursuite de Lorient-express
    • Un siècle d’alcool sur le football lillois
    • Nantes/Anderlecht, premier match de football au Stadium Nord
    • Lille/Bastia 2000 : contexte chaud, Valois fait le show, Noël au chaud
  • Commentaires récents

    • Antoine dans Plus jamais ça : 21 actions dégueulasses réalisées par les Dogues
    • leleu dans Les presque Bleus du LOSC. Ces Dogues capés en B et A’ mais jamais en A.
    • dbclosc dans Jean Vincent, profession : footballeur
    • Titouan dans Jean Vincent, profession : footballeur
    • artigouha dans Jean Vincent, profession : footballeur
  • Archives

    • mai 2023
    • mars 2023
    • février 2023
    • janvier 2023
    • décembre 2022
    • novembre 2022
    • août 2022
    • juillet 2022
    • juin 2022
    • mai 2022
    • avril 2022
    • mars 2022
    • février 2022
    • janvier 2022
    • décembre 2021
    • novembre 2021
    • octobre 2021
    • septembre 2021
    • août 2021
    • juillet 2021
    • juin 2021
    • mai 2021
    • avril 2021
    • mars 2021
    • février 2021
    • janvier 2021
    • décembre 2020
    • novembre 2020
    • octobre 2020
    • septembre 2020
    • août 2020
    • juillet 2020
    • juin 2020
    • mai 2020
    • avril 2020
    • mars 2020
    • février 2020
    • janvier 2020
    • décembre 2019
    • novembre 2019
    • octobre 2019
    • septembre 2019
    • août 2019
    • juillet 2019
    • juin 2019
    • mai 2019
    • avril 2019
    • mars 2019
    • février 2019
    • janvier 2019
    • décembre 2018
    • novembre 2018
    • octobre 2018
    • septembre 2018
    • août 2018
    • juillet 2018
    • juin 2018
    • mai 2018
    • avril 2018
    • mars 2018
    • février 2018
    • janvier 2018
    • décembre 2017
    • novembre 2017
    • octobre 2017
    • septembre 2017
    • août 2017
    • juillet 2017
    • juin 2017
    • mai 2017
    • avril 2017
    • mars 2017
    • février 2017
    • janvier 2017
    • décembre 2016
    • novembre 2016
    • octobre 2016
    • septembre 2016
    • août 2016
    • juillet 2016
    • juin 2016
    • mai 2016
    • avril 2016
    • mars 2016
    • février 2016
    • janvier 2016
    • décembre 2015
    • novembre 2015
  • Catégories

    • Classements oubliés
    • Complot contre le LOSC
    • Derbys du Nord
    • Donne-nous des nouvelles …
    • Elucubrations vaguement intellectualisées
    • Féminines
    • le LOSC est grand, le LOSC est beau
    • Tournois oubliés
  • Méta

    • Inscription
    • Connexion
    • Flux RSS des articles
    • RSS des commentaires
  • Suivez-nous sur Twitter !

    Twitter

    Twitter

    • RT @QPourbaix: @Damien__Boone , sociologue et @MaxPouss, rédacteur pour les médias du LOSC publient « Lille capitale du football français »… il y a 6 heures retweeté via QPourbaix
    • RT @QPourbaix: [ 1ers ]🏆⚽Mai 1933 : Lille gagne le 1er Championnat de France de foot pro. Titre acquit non par #LOSC, mais par son ancêtre,… il y a 6 heures retweeté via QPourbaix
    • @Statilosc @mickaelfoor @itsJoDavid Réglementairement, rien n'interdit de changer de tireur si un pénalty est à ret… https://t.co/52xnex1XvO il y a 18 heures
    • @Statilosc Avec un jeu porté vers l'avant et des dribleurs comme Ounas et Cabella, la probabilité de fautes adverse… https://t.co/Z2v3AQY8dL il y a 18 heures
    • @LeVieuxDogue René Bihel en 1945-1946 (28 buts), Jean Baratte en 1947-1948 (31 buts) puis en 1948-1949 (26 buts) ont fait mieux. il y a 2 jours

    Suivre @dbc_losc sur TwitterSuivez-moi

© 2023 Drogue, bière & complot contre le LOSC - Le foot est un sport qui se joue à 11, et à la fin il y a un complot qui empêche le LOSC de gagner

Actufootclub |
Danserbougerbouger |
Dbclosc |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Onambg Wrestling
| Book Léo
| Pétanque de l'Europe